Geo-politique

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GÉOPOLITIQUE

S9 ALLAL ACHABA ALLAL ENCG AGADIR 2018-2019

Introduction à la géopolitique

Partie I

Introduction Le terme « Géopolitique » est employé pour la première fois par un professeur de géographie suédois Rudolph Kjellen

(1864‐1922) dans son ouvrage Stormakterna (les Grandes puissances), paru en 1904.

A- Définition Selon Fernand Braudel, la géopolitique est l’étude de la politique dans l’espace et le temps. Elle répond à deux interrogations essentielles : • Qu'est‐ce que la puissance ? • Où et comment se localise‐t‐elle ?

Selon P.M. Gallois: «La géopolitique est l’étude des relations qui existent entre la conduite d’une politique de puissance et le cadre géographique dans lequel elle s’exerce ».

La géopolitique est selon Yves Lacoste: « Une nouvelle manière de voir le monde qui dépasse la simple lecture des données économiques et propose d'autres mobiles que la recherche de profits ou la conquête de terres fertiles ». Il présente la géopolitique comme « un savoir penser l'espace terrestre et les luttes qui s'y déroulent ».

Pascal Lorot la définit comme : « Une méthode particulière qui repère, identifie et analyse les phénomènes conflictuels, les stratégies offensives ou défensives centrées sur la possession d'un territoire, sous le triple regard des influences du milieu géographique, pris au sens physique et humain, des arguments politiques des protagonistes du conflit et des tendances lourdes et continuité de l'histoire »

Pour P. Claval: « La géopolitique prend en compte l’ensemble des préoccupations des acteurs en présence sur la scène internationale (Hommes d’Etat, diplomates, armée, ONG, opinion publique etc.) et s’interroge sur les aspects spatiaux au sein des plans élaborés par ces divers acteurs : elle s’interroge sur les calculs des uns et des autres afin de comprendre ce qui les pousse à agir ».

GEOSTRATEGIE L’action nécessite des stratégies. lorsqu’elles sont militaires on parle dans ce cas de la géostratégie.

De toutes ces définitions, il est possible de dégager un point commun :  « toute géopolitique est une réflexion sur la puissance ». La puissance est le produit de la force des acteurs et de leurs situations géographiques.

« La puissance d’un Etat ne tient pas seulement à la solidité de son potentiel militaire, humain, économique etc. mais aussi à sa situation géographique ». La géographie conditionne fortement la politique d’un Etat.

Exemple: Un Etat enclavé est un Etat qui ne dispose pas de façade maritime et donc d’un accès direct à la mer. -dans ses échanges il dépend de sa relation avec ses voisins -pour lui un profond handicap souvent vécu comme un « complexe d’infériorité géopolitique »  Nécessité de développer de multiples stratégies de désenclavement.

Aymeric Chauprade « Si un Etat est enclavé, alors l’enclavement est sa donnée géopolitique majeure, supérieure à toutes les autres. L’ambition première d’un tel Etat est de sortir de l’enclavement ». Cette nécessité est souvent qualifiée d’ « invariant géopolitique » accéder à l’élément liquide devient une véritable obsession. Exemple: *La volonté irakienne d’accroître son accès à la mer contribue significativement à expliquer les guerres ayant opposé ce pays à ses voisins. *La Russie aussi

D’autres facteurs sont à prendre en compte pour expliquer la géopolitique d’un Etat tels que : -Le facteur identitaire, - Le facteur religieux, -Le facteur social, -Le facteur économique etc… Car: « il n’y a pas de loi générale en géopolitique, il n’y a que des facteurs qui se combinent différemment »(François Thual, « Méthodes de la géopolitique », Ellipses, 1996.

B- Objectifs de la géopolitique L’objectif de toute analyse géopolitique est de : comprendre le comportement d’un Etat (ou de tout autre acteur de la scène internationale) en cherchant le pourquoi et le comment de son action, c’est‐à‐dire principalement de sa politique étrangère.

Exemple: *que veut un Etat qui menace tel autre ? *Que veut un Etat qui a déclenché une guerre ou envahi un autre Etat ? *De quoi a‐t‐il peur ? *Qu’espère‐t‐il gagner ? *pourquoi un Etat veut-il « s’assurer la possession de telle ou telle région, contrôler tel ou tel fleuve, détroit, ou accaparer telle ou telle île ».

Ainsi la géopolitique permet de :

*constater les faits, opérations militaires, alliances diplomatiques, déclarations politiques, positionnement des troupes, relief, situation géographique de la capitale etc. *imaginer les tendances qui en découlent, et les affrontements à venir, *en déterminer les facteurs, * désigner les atouts et les faiblesses d’un ensemble donné.

La géopolitique permet de révéler les tensions internes et les multiples zones de fractures qui cristallisent les rapports de forces entre nations.

La géopolitique permet de cartographier les rivalités et les liens s’établissant entre les différents acteurs impliqués dans un « conflit de puissance » :

la géopolitique vise également à identifier les acteurs, à décrire leurs intentions, à analyser leurs motivations afin de visualiser les différentes alliances, qu’elles soient en gestation ou en déconstruction.

L’analyse géopolitique insère tout comportement d’un Etat dans la dialectique Ambition/Menace. Par exemple: une alliance avec les voisins pour assurer sa sécurité

II- Géostratégie

A- Définition La géostratégie est l'étude de la fabrication des espaces par la guerre. la géostratégie est la science (ou l’art) de l’affrontement des puissances militaire en premier lieu mais aussi , économique ou culturel.

La géostratégie investit le concept le champ militaire: réfléchit: -Sur l’organisation territoriale des forces de défense et de sécurité; -sur les effectifs nécessaires et suffisantes en fonction des territoires à couvrir; - sur la nature des armes à acquérir (offensives, défensives)...

B- Géopolitique et géostratégie: Les deux domaines sont connexes: une bonne analyse géopolitique permet de déterminer correctement les facteurs de puissance d’un ensemble, donc les points sur lesquels il faudra concentrer ses efforts pour le soumettre, l’amoindrir ou au contraire le renforcer. la géostratégie permet de déterminer ensuite une ou les action(s) stratégique(s) pour agir sur ces points.

Exemple1: Royaume-Uni: Au niveau géopolitique:  Ce pays est une île (facteur géopolitique primordial), et ne dispose pas de ressources naturelles abondantes (autre facteur primordial). au niveau géostratégique: sa stratégie sera toujours de s’assurer de la liberté des mers, qui est la condition clef de sa survie. Pour cela construire une marine puissante qui lui fera mettre en œuvre des stratégies militaires, industrielles et diplomatiques de nature à conserver cette liberté des mers en vue de permettre d’assurer la sûreté d’approvisionnement du pays.

Exemple 2: la France  au niveau géopolitique -a toujours pu vivre de ses richesses agricoles (facteur géopolitique déterminant), -possède deux façades maritimes (facteur géopolitique déterminant) au niveau géostratégique: - Le problème de l’approvisionnement n’est pas posé de la même ampleur que le RU. moins d’importance à sa marine qu’à son armée de terre car les invasions terrestres y ont de tous temps été davantage redoutées que les débarquements maritimes ou les blocus.

Pour Yves Lacoste : réserver le thème de géopolitique aux discussions et controverses entre citoyens d'une même nation (ou habitants d'un même pays)  réserver le terme de géostratégie aux rivalités et aux antagonismes entre des Etats ou entre des forces politiques qui se considèrent comme absolument adverses.

Exemple: *l'invasion du Koweit par Saddam Hussein relève de la géostratégie, qu'il s'agisse de son plan d'action ou des arguments qu'il a proclamés pour justifier cette annexion. *les raisons qui ont décidé les dirigeants américains à intervenir aussi rapidement et puissamment relèvent elles aussi de la géostratégie.

*Mais les débats déroulés en France ou aux Etats-Unis en citoyens font partie de la géopolitique.

Mais en gros: la géopolitique, tout comme le géostratégie se pose quelques questions majeures qui peuvent être résumés dans le tableau suivant:

Qui fait et veut quoi? L’acteur, l’action et l’intention (ambition) Comment?

Le mode opératoire

Quand?

Le temps

Où?

L’environnement

Avec qui?

L’allié

Contre qui?

L’ennemi

Avec quel moyen?

Le dispositif

Pour quelle finalité?

L’ambition

Avec quelle récurrence?

Le type de tendance

Ces question s visent à se représenter et à interpréter ce que l’autre fait ; afin de répondre à la plus importante des questions : Est - ce une menace ou on pour mes intérêts ou pour ceux de mes alliés ?

Intention sur la riposte

Si oui quelle conséquence , si non Nature de la riposte quelle conséquence ?

Application des questions de la géopolitique et la géostratégie à la secte Boko Haram

Qui fait et veut quoi ?

L’acteur : BokoHaram (qui est derrière ?) l’objectif/intention : Rejet de la culture occidentale ? Instauration de la charia ?Renversement du régime ?

Comment?

Attentats suicides, prises d’otages, cambriolages des banques

Quand?

A tout moment et principalement la nuit

Où?

Dans les parties septentrionales du Nigéria et dans les pays voisins

Avec qui?

AQMI, Shebabs, Ansaru ; MUJAO, Ansar Dine ? Elites du nord ? Etats du Moyen – Orient ?

Contre qui ? L’Etat nigérian et ses Etats alliés, les Etats occidentaux et les élèves

Application dearmes la géopolitique et la géostratégie à la explosifs, secte Bokoetc.) Haram Avec quel sdes questions Hommes, (lance - roquettes, AK - 47,

Moyen s ? Qui fait et veut Pourquoi quelle ?finalité ?

L’acteur : BokoHaram (qui est derrière ?) l’objectif/intention Rejet de ?laL’accession culture occidentale ? L’islamisation du: Nigéria au pouvoir ? Le retour du Instauration de laélites charia du régime ? illicite et la pouvoir aux du?Renversement nord ? L’enrichissement

Comment?

Attentats suicides,de prises d’otages, cambriolages propagation l’économie criminelle ?des banques

Avec quelle De manière régulière depuis 2011 Quand? A tout moment et principalement la nuit récurrence ? Où? Dans les parties septentrionales du Nigéria et dans les pays La représentation, l’interprétation de ce que l’autre fait voisins Est ce une menace , menaces sur la stabilité des Etats ; Menaces sur la Avec- qui? AQMI,ou Shebabs, Oui Ansaru ; MUJAO, Ansar Dine ? Elites du nord non pour mes ?intérêts Etats du Moyensécurité – Orientdes ? biens et des personnes ; Menaces sur les ? Ou ceux de mes alliés ? investissements des puissances occidentales Contre qui ? L’Etat nigérian et ses Etats alliés, les Etats occidentaux et les élèves Riposte Globale, continentale et mondiale

La géopolitique de la seconde guerre mondiale

Plan Introduction L’avant-guerre La Seconde Guerre Mondiale L’après-guerre

Conclusion

L’avant-guerre

Evénements marquants de l’Avantguerre :  1930 : La grande dépression mondiale ;  1933 : Le Japon s’est retiré de la ligue des nations et

l’Allemagne a suivi ;  1935 : L’Allemagne a brisé les conditions du traité de Versailles ;  1936 : Hitler a remilitarisé la Rhénanie ;  1937 : Le bombardement de Guernica ;  1938 : L’événement « Anschluss »

Phase I : Une « guerre éclair » qui surprend l'Europe

L’ invasion de la Pologne

La campagne de France

La bataille d'Angleterre

La BARBAROSSA

Phase II : « Le tournant de la guerre »

L'attaque allemande en U.R.S.S

Pearl Harbor : l'entrée en guerre des États-Unis

l’U.R.S.S et les E-U réagissent

1942: Décheance de l’axe?

Phase III : Les défaites de l'Axe

Les Alliés à la conquête de l'Europe

La libération de la France

L’Allemagne et le Japon résignent

Vers la victoire alliée

L’après-guerre

Plan Marshall Le plan Marshall est un plan américain mis en place après la Seconde Guerre mondiale pour aider à la reconstruction de l’Europe. Le nom Marshall est emprunté au général George Marshall qui, au cours d'un discours à l'université Harvard le 5 juin 1947, a fait part de la volonté du gouvernement des Etats Unis de participer au rétablissement de l'Europe. Le plan Marshall a été adopté par le président Harry Truman pour quatre ans du 1er avril 1948 au 30 juin 1952.

Cette aide américaine consistait, d'une part, à aider financièrement la population européenne qui devait faire face à la misère de l'après-guerre et, d'autre part, à accorder des prêts aux pays européens. Ces prêts ont pris la forme, au fil du temps, de dons non remboursables. En contrepartie de ces aides, les pays bénéficiaires acceptaient de se conformer à la politique capitaliste libérale qui était le modèle économique des Etats-Unis. Au total, dans le cadre du plan Marshall, les Etats-Unis ont versé plus de 10 milliards de dollars aux pays européens.

La croissance économique après la Seconde Guerre mondiale Les Trente Glorieuses • Les effets du baby boom Une forte augmentation • La nécessaire reconstruction de la demande • L'envie de consommer

• L'augmentation de la production Un accroissement • L'essor du commerce mondial • Le rôle croissant de l'État de l'offre

Reagan commence son premier mandat par un geste politique, en levant l'embargo sur l'exportation de blé vers l'URSS. Il reste quoi qu'il en soit partisan d'une politique offensive contre ce qu'il appelle l'« Empire du Mal ». Il relance une course aux armements (Initiative de défense stratégique, IDS) qui épuise l'URSS, déploie en Europe les missiles Pershing II en réponse aux SS 20 soviétiques. Il encadre le contre-choc pétrolier de 1986 qui, en réduisant les recettes d'exportation de l'URSS, participe à l'effondrement de celle-ci. Il soutient les régimes anticommunistes et les opérations de la CIA contre les régimes communistes (Afghanistan, Nicaragua ...

En 1985, l'engagement des négociations sur le désarmement START (Strategie Arms Reduction Talks) et l'arrivée de Gorbatchev à la tête du Kremlin marquent le début de la détente. Très populaire et garde l'image de celui qui a fait chuter l'URSS

UN NOUVEAU CONTEXTE, UNE NOUVELLE DOCTRINE Un nouveau système-monde  Après la chute de l'URSS, les États-Unis apparaissent comme les vainqueurs de la guerre froide.  Le modèle capitaliste libéral paraît triomphalthèse de la « fin de l'histoire » (Fukuyama F, La fin de l'histoire et le dernier homme, Flammarion, 2002).  Les États-Unis :les leaders du monde, les leaders de la globalisation  cherchent à universaliser le modèle capitaliste libéral au risque du « choc des civilisations » (Huntington S., Le choc des civilisations, O. Jacob, 1997).

 Plusieurs manières de comprendre le système-monde dans

l'après-guerre froide se succèdent;  Après la triade économique, l'idée d'une structuration du monde en grands ensembles civilisationnels (qui semble attestée par les attentats du 11 septembre 2001) et l'idée de l'avènement d'un monde unipolaire placé sous la domination américaine s'imposent et se concurrencent.

Dans un premier temps, alors que le monde est en cours de restructuration et que l'économie américaine est en difficulté, l'administration Bush (père), en dépit de la volonté d'établir un nouvel ordre mondial, semble quelque peu en peine pour définir et mettre en application une nouvelle doctrine.

C'est dans ce contexte d'apaisement des relations internationales que de nouvelles menaces et que de nouveaux ennemis extérieurs sont « inventés », au lendemain de la chute de l'«Empire du Mal », et qu'apparaît la notion d'« États voyous »,

T. Jefferson avance (en 1801) que « l'Amérique se doit de remplir sa mission, demeurer le meilleur espoir du monde", affiche déjà l'ambition messianique des États-Unis.

 La notion de « destinée manifeste» apparaît en 1845 sous la

plume d'un publiciste, O'Sullivan, pour qui les « États-Unis feront battre en retraite tous ceux qui tenteront de s'opposer à notre politique ou de faire obstacle à notre puissance, de limiter notre grandeur et d'empêcher la réalisation de notre destinée manifeste qui est de nous répandre à travers tous les continents pour assurer le libre épanouissement de millions de personnes »,

Cette notion postule donc que le destin historique des États-Unis est de défendre et de diffuser la liberté, la justice et le progrès dans le monde.  « Nouvelle Jérusalem », terre d'un nouveau « peuple élu », les États-Unis assument donc une « mission civilisatrice" qui relève de la volonté divine.

Wilson s’est appuyé aussi sur le mythe de la destinée manifeste :considère que l'Amérique a pour mission d'assurer la paix et la démocratisation du monde: « Nous sommes venus pour racheter le monde en lui donnant liberté et justice [... ] Je crois que Dieu a présidé à la naissance de cette nation et que nous sommes choisis pour montrer la voie aux nations du monde ».

Le leadership doctrinaire du clan Bush (2001-2008) Si, dans un premier temps, G. W. Bush n'est pas en mesure d'apporter d'importantes modifications à la politique de Clinton, le 11 septembre 2001 marque une rupture. L'administration Bush souhaite alors promouvoir un unilatéralisme" pleinement assumé et, tout au moins dans un premier temps (correspondant plutôt au premier mandat), imposer un « ordre américain» impérial sur le monde.

« Théorisée » dès 1992 dans le rapport Wolfowitz- Libby (qui fixe trois objectifs: empêcher toute puissance hostile de dominer une région du monde, décourager les pays industriels de remettre en question le leadership stratégique américain, prévenir l'essor de tout concurrent global), mise en veille pendant l'administration Clinton, cette stratégie est reprise et réactualisée dans le rapport de septembre 2002 de la Maison Blanche (National Security Strategy of the United States).

Ce rapport définit la politique extérieure en termes de combat: «C'est une confrontation entre les forces du bien et les forces du mal. » Dans cette perspective apparaît la notion d'« Axe du Mal ». La politique extérieure de G. W. Bush vise à maintenir l'équilibre géopolitique global fondé sur la domination américaine, à assurer la sécurité des approvisionnements pétroliers et à lutter contre le terrorisme islamiste.

Elle impose un durcissement des positions américaines et des relations entre Washington et le reste du monde.

États-Unis comme défenseur de la « mission civilisatrice » de l'Occident s'inscrit dans le prolongement des grandes doctrines messianiques américaines. Dans le rapport de 2002, G. W. Bush souligne ainsi que: « L'humanité tient entre ses mains l'occasion d'assurer le triomphe de la liberté sur ses ennemis. Les États-Unis sont fiers de la responsabilité qui leur incombe de conduire cette importante mission ».

 La « guerre contre le terrorisme » ou « guerre contre la

terreur » (« War on Terrorism », « War on Terror » ou « Global War on Terror », (GWOT)) est le nom donné par l'administration américaine du président George W. Bush à ses campagnes militaires faites en réplique aux attentats du 11 septembre 2001.  Lieu : Asie, Afrique, Europe et Amérique du Nord  Date de début : 7 octobre 2001  Issue : En cours

Géopolitique mondiale (depuis 1945): Un monde unipolaire? Un monde multipolaire : Instabilités et nouvelles menaces: Renforcement des institutions internationales

• Les Etats-Unis= Hyper puissance • « Gendarmes du monde » • Mais affaiblie et concurrencée • • • •

L’Union européenne Nouveaux pôles de puissance ( Brésil, Chine, Inde ) De nouveaux Etats (150 en 1990 - 193 en 2013 ) Acteurs non-étatiques + puissants ( Al-Qaïda, Hezballah)

• • • •

De nouveaux conflits et tensions ethnico-religieuses Yougoslavie 1992-2001 -> Génocide Prolifération nucléaire Terrorisme

• ONU • Tribunal Pénal International (depuis 2002)

Conclusion

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