Sauvez Les Médecines Naturelles-vf - Loin

Natacha Lange, Nicolas Send, Jean-Baptiste Loin, Eva Louprat et Naevius Sakon BONUS La vidéo et la musique originale de la pétition, dans cet ebook !

Notre Santé vous appartient !

Sauvez Les Médecines Naturelles

Lettre ouverte à la communauté humaine Frères humains, Depuis plus de 30 ans, vous êtes victimes d’un système de santé ne respectant pas les fondements de sa création. Que ce soit en France ou en Europe, aux Etats-Unis ou au Japon, en Amérique du Sud ou en Chine, l’industrialisation pharmaceutique est en train de coloniser les dernières parcelles de la planète qu’elle n’avait pu atteindre auparavant. Soyez témoins de l’histoire ! En guise d’innovation thérapeutique, l’Europe accumule plus de 200 000 Morts par an dus aux effets secondaires de médicaments de synthèse reconnus comme dangereux, ayant insidieusement reçu l’aval des administrations de santé concernées pour leur mise sur le marché. Tant que ces institutions extrêmement puissantes «soutenaient» l’économie mondiale, elles étaient en mesure de vous faire « avaler la pilule » sans aucune réaction de votre part. Puisqu’elles se gardaient bien de vous informer de la réalité des résultats. A présent, en plus d’être informé de ce carnage se perpétrant sous vos yeux, sachez que si certains spéculent déjà sur la chute de l’économie, le coût en soins liés aux seuls effets secondaires de ces médicaments est de 79 Milliards d’Euros chaque année.

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Pour résumer : le système de santé actuel intoxique ses patients puis dépense une fortune colossale pour tenter de les soigner... et finalement les enterre. Tandis que cet argent pourrait très facilement être réinvesti dans un système de santé plus humain, moins coûteux, donnant un nouveau souffle au partage et à l’économie, puisque ce qui est valable pour la santé de votre planète, doit aussi l’être pour vous. Découvrez dans cet ebook : ➡ Le témoignage vidéo d’un médecin généraliste accablé depuis plus de 20 ans par la sécurité sociale pour avoir prescrit des remèdes phytothérapiques. Cette interview est cruciale puisque c’est la première fois qu’un Docteur en exercice, dénonce clairement ce que tout le corps médical sait depuis toujours. ➡ Des articles et newsletters abordant la désinformation et la manipulation dont nous sommes tous victimes. ➡ Ainsi que les premières réactions des signataires de la pétition. Quelques soient votre origine ou votre pays de résidence, quelques soient vos opinions politiques ou religieuses, quelque soit votre position sociale, je vous invite à signer la pétition se trouvant sous ces lignes en premier lieu. Ce geste à lui seul, cette simple signature électronique, vous sauvera peut-être la vie. Pour quelle raison ? Parce qu’en permettant à tous les acteurs de la santé d’exister aux yeux de la loi, étant déjà reconnus et libres d’exercer dans de nombreuses démocraties, vous indiquez à Madame la Ministre des affaires sociales

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et de la santé, que vous avez compris où se trouvait le coeur du problème. Si la France est un tout petit pays au regard du monde, son taux de consommation d’antidépresseurs et d’antibiotiques y est encore inégalé. Nous ne vous invitons pas uniquement à avoir personnellement accès à ces médecines. Notre propos est de permettre à tous les acteurs de la santé, quelques soient leur origine ou leur orientation thérapeutique, de ne plus participer à l’implantation commerciale de produits reconnus comme nocifs, dans vos habitudes, dans vos cabinets médicaux et dans vos hôpitaux... Il est question ici de proposer aux institutions de santé de faire ce qu’elles n’auraient jamais dû cesser de faire : Prendre de soin de votre santé ! Votre vie n’a pas de prix. C’est à vous d’agir : Cliquez ici pour accéder à la pétition en ligne.

Naevius Sakon

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Pétition pour la reconnaissance et le remboursement des médecines naturelles Madame la Ministre des affaires sociales et de la santé,

Conjointement à la convention de la défense de la liberté et de la sauvegarde des citoyens : Nous refusons d'être otage d'un système thérapeutique obsolète, décidé à nous empoisonner dans le but de s'enrichir. Par la présente, ➡ Nous demandons que soit votée par le Ministère de la santé une reconnaissance complète de l'homéopathie, la phytothérapie, l'acupuncture, la naturopathie, l'aromathérapie, ainsi que toutes les médecines naturelles reconnues par un pays de l'UE au minimum. ➡ Nous demandons que ces orientations thérapeutiques puissent être solidaires de la médecine conventionnelle ainsi que du milieu hospitalier. ➡ Nous demandons que les médecines et les remèdes naturels soient remboursés à 50 % par la sécurité sociale, lorsqu'ils sont prescrits par

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un thérapeute généraliste ou alternatif reconnu par un pays de l'UE au minimum. Par conséquent, nous vous demandons instamment de relancer le débat politique sur la question des allégations thérapeutiques afin de : 1. Rééquilibrer la position française sur les allégations de santé naturelle, et le droit individuel à un soutien pour des solutions médicales non conventionnelles ; 2. Réformer le rôle de l’EFSA (European Food Safety Agency) dans le processus décisionnel européen, en intégrant des sanctions si l’administration sort du mandat qui lui a été attribué ; 3. Intégrer le droit de se soigner autrement dans le droit de la santé français et européen.

Veuillez agréer, Madame la Ministre, l'expression de nos salutations distinguées.

Je signe cette pétition : Cliquez ici pour accéder à la pétition en ligne.

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ISBN N° 979-10-90231-08-5 TOUS DROITS RESERVES

Cet ebook est gratuit ! Vous êtes encouragés à l’offrir ou le diffuser. Cependant il est interdit de le modifier ou de le vendre.

BONUS

Sommaire

Retrouvez la vidéo et la musique originale de cet ebook, en cliquant ici !

Lettre ouverte à la communauté humaine

P. 2

Pétition

P. 5

Sommaire

P. 7

Touche pas à ma médecine !

P. 8

Danger à l’hôpital

P. 12

Pour la liberté thérapeutique

P. 15

Révélations du docteur Moulinier

P. 19

L’herboristerie revient...

P. 24

La peur, une arme de manipulation massive P. 26 On continue ? L’affaire «Protelos»

P. 31

Les signataires vous parlent

P. 34

Le serment de l’ordre des médecins

P. 56

Vous trouverez sous forme d’exergue dans une petite bulle, certains des commentaires de la pétition, ils sont tous réunis dans le chapitre leur étant consacré à la fin de cet ebook.

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crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Touche pas à ma médecine ! De plus en plus de personnes choisissent les médecines naturelles : 42% de la population recourt régulièrement à l'homéopathie, 25% des Français à l'acupuncture et 20% à l'ostéopathie. Ils étaient respectivement 19% et 5% en 1983. « Pour un système de santé plus juste, qui prend en compte les orientations personnelles de chaque individu... »

Mais depuis de nombreuses années, les patients ayant choisi de recourir à ces médecines dites « non conventionnelles », et les médecins et praticiens de santé ayant fait le choix d’exercer ces médecines différentes, déplorent leur non remboursement ou leur mauvaise prise en charge par les régimes obligatoires et complémentaires. Quelques assureurs proposent des garanties « médecines naturelles », mais elles sont le plus souvent optionnelles et le montant des remboursements est assez faible, ces garanties étant accessoires par rapport aux garanties principales d'hospitalisation, d'optique ou de dentaire. De plus, les actes concernés sont souvent limités ; ainsi, par exemple, les actes hors nomenclature ou les honoraires de médecins non conventionnés sont rarement pris en compte.

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Le triumvirat de la (mauvaise) santé publique Pendant ce temps, un triumvirat, composé de la sécurité sociale, de l’ordre des médecins et du lobby pharmaceutique, fait peser sur la santé publique un diktat totalitaire que personne ne semble vouloir, ou pouvoir, contester. Pourtant, je l’ai dit, c’est en moyenne un gros tiers de la population qui a plus ou moins rejeté les traitements médicaux conventionnels pour leur préférer des solutions plus naturelles. « L'humanité s'est soignée naturellement pendant des millénaires et nous sommes toujours là. Ce n'est que depuis que la médecine " scientifique" est apparue que tout va mal. »

Ce tiers, qui d’ailleurs s’achemine vaillamment vers les 50%, devrait donc logiquement être en mesure de faire valoir ses droits.

Quant à la dictature médicopharmaceutique, il serait plus que temps de la renverser, surtout à l’heure où elle semble vouloir s’orienter vers des mesures répressives de plus en plus clairement anti-démocratiques. Or, en réclamant ce qui vous est dû en tant qu’utilisateur des médecines naturelles : ➡ vous déclarerez vouloir jouir en toute égalité des droits jusqu’à présent réservés aux seuls adeptes de l’allopathie, ➡ vous refuserez qu’on vous dicte vos choix thérapeutiques et que, par la même occasion, on vous empoisonne contre votre gré, ➡ vous participerez à la mise à mort d’un système de santé aberrant... puisqu’il n’a d’autre but que d’entretenir l’intoxication publique au profit des laboratoires pharmaceutiques. Concernant ce dernier aspect du problème, il est d’ailleurs important de préciser qu’il s’agit moins d’attaquer que de se défendre.

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En effet, aujourd’hui plus que jamais, le lobby médico-pharmaceutique, à cause même de la menace que le succès des médecines naturelles fait peser sur son développement, est résolu à éradiquer ces dernières.

« Nous ne pouvons ne rien faire face à ces problèmes, nous devons réagir d'une manière ou d'une autre. Profitons que notre pays en soit encore un, bien qu'il soit mis à rude épreuve, lui et sa Loi. Le Mondialisme, responsable de ce genre de dysfonctionnement, enfreint les Lois les plus élémentaires pour nous emmener vers la faillite, il ne peut plus cacher ses désastreuses conséquences ni son projet de pouvoir et de gains à tous prix. »

Il s’agit donc bel et bien de sauver les médecines naturelles de l’interdiction pure et simple. En exagérant à peine, il s’agit d’éviter de vous retrouver hors la loi en allant cueillir du romarin dans votre jardin. Et, par voie de conséquence directe, il s’agit de préserver votre liberté… de ne pas vous faire empoisonner ! Et cela, même si votre empoisonnement est remboursé par la sécurité sociale !

De la santé individuelle à la santé de la planète En revanche, un remboursement de vos soins naturels aurait non seulement un impact direct sur votre propre santé, mais pourrait même largement contribuer au sauvetage de la sécurité sociale elle-même. On sait que l’écologie et la nouvelle économie verte sont actuellement considérées comme un moyen de relancer l’économie.

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Rien n’interdit de penser qu’il pourrait en être de même avec les médecines naturelles et la médecine (ou la sécurité sociale).

« Nous sommes premiers consommateurs mondiaux de médicaments... Sommes-nous plus malades que nos voisins ? »

Les médecines naturelles, avec leur philosophie de prévention et leur souci de ne pas nuire, correspondant à ce qu’il convient d’appeler une « santé adulte », ne sauraient en tout cas, à terme, que contribuer à équilibrer l’économie plutôt qu’à la déséquilibrer. Elles s’inscrivent, d’autre part, dans un processus partant de la santé individuelle à la santé de la planète, en passant, bien sûr, par la santé publique. Et c’est certainement cela le plus important !

Jean-Baptiste Loin

Suivez ce lien pour signer la pétition.

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Danger à l’hôpital

A une certaine époque, le système de santé français faisait partie des meilleurs du monde. C’était l’avènement de la médecine moderne, où l’on voyait encore Britanniques, Américains, Japonais, se faire soigner en France. Malheureusement, si certains s’enorgueillissent encore de ce glorieux passé, la situation présente a considérablement changé. L’hôpital n’est plus le lieu accueillant et rassurant, digne des meilleurs effets placebo. L’illusion du miracle a bel et bien disparu. Saviez-vous qu’une récente étude montre que 70 % des médecins craignent pour la qualité des soins qu’ils recevront à l’hôpital s’ils tombent malades ? En considérant le nombre d’erreurs médicales, maladies nosocomiales, et hospitalisations abusives, il est clair que la dramatique ampleur d’un système de santé devenu obsolète demande la nécessité impérieuse de faire valoir notre droit à un système de soins différent, prenant l’humain en considération. « Je suis thérapeute ayurvedique moi même et à 54 ans je n'ai besoin d'aucun médecin et suis en pleine forme. D'autres pays remboursent les médecines naturelles, la France protège les lobbys pharmaceutiques au détriment de la santé des gens, et cela avec l'aval de notre gouvernement. On cherche des économies ? Voila déjà une des solutions. »

Laissez-moi vous raconter en quelques mots l’histoire de ce vieil homme que j’ai très bien connu :

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Féru de médecine naturelle, il n’avait jamais mis les pieds chez un médecin. Cependant, victime depuis quelques années d’un AVC (accident vasculaire cérébral), le pauvre homme avait irrémédiablement perdu la raison. Par conséquent son fils s’était voué à lui servir de garde fou. Un jour, alors qu’il était parti en ville, le vieil homme abandonné à ses lubies décida de faire un tour dans son village. « Au pays des droits de l'homme, n'avoir pas le droit de choisir ses soins, sa vie ou sa mort, cela laisse tout simplement perplexe ! »

Son état de santé mentale fragile l’amena sans qu’il ait eu le temps de s’en rendre compte, à une virulente altercation avec un de ses voisins. Un témoin choqué par la scène s’empressa d’appeler les forces de l’ordre et la police fit diligence. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire le vieil homme se retrouva face contre terre, les poignets menottés comme un vulgaire voyou. Pour un homme de 73 ans, il était encore en bonne santé physique et par conséquent, aurait aisément pu souffler sa 80ème bougie. Prenant conscience de son état délirant, les forces de l’ordre décidèrent de placer notre ami dans un hôpital, qui dut trancher sur la nature psychiatrique « du problème ». C’est dans ces conditions que menotté à un brancard, dans un couloir sale et nauséabond de cet hôpital de région parisienne, ce vieil homme qui m’était si cher, contracta une forme très rare de pneumonie. Une maladie nosocomiale dont les responsables de l’établissement diront que bien qu’il ait contracté cette maladie mortelle à l’hôpital, leur responsabilité dans la mort de ce pauvre homme est juridiquement nulle et non avenue... L’exemple de cette vie passée à récuser les déviances de notre système de santé en ayant été victime à son tour, illustre parfaitement l’immédiate

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nécessité humaine d’apprendre à se soigner différemment, et s’il le faut par nos propres moyens. Afin d’éviter que cela ne puisse vous arriver aussi, il est primordial d’agir chacun à votre niveau. En relayant l’information, en consommant différemment, en considérant que notre existence a elle seule, vaut bien plus que le célèbre trou de la sécurité sociale.

Je signe la pétition.

« Il est profondément anormal que la santé soit confisquée par les laboratoires pharmaceutiques qui vivent au crochet de la sécurité sociale et qui de surcroît génèrent par leur poison, d'autres maladies pour lesquelles ils vendront d'autres médicaments... c'est sans fin, et c'est la perte de l'humanité ! »

« Il serait temps surtout quand beaucoup de médecins utilisant ces médecines sont rayés de l'ordre et que la presse alternative de santé est harcelée !!!! »

« Pour une médecine digne de ce nom, et non pas un lobby au service des labos pharmaceutiques... »

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Pour la liberté thérapeutique Dans cette newsletter se trouve le lien vers le dossier sur le Dr Moulinier que j’ai abordé avec vous la semaine dernière. Toutefois ce n’est pas tout... En ce qui concerne la santé publique bien plus qu’ailleurs, comment avoir toutes les informations permettant une vision objective de notre orientation thérapeutique ? D’un côté vous avez le monde des spécialistes de médecines naturelles, De l’autre, le monde des spécialistes de médecine allopathique, Et entre les deux... la sécurité sociale.

« Les informations circulent facilement à notre époque et heureusement on est plus ou moins au courant de beaucoup de choses et l'on découvre que dans bien des domaines, on nous ment depuis des lustres ! Depuis quelques années, il y a des fuites... »

Tous s’adresseront à vous en affirmant le bien-fondé de leurs solutions. Cela peut être considéré comme une forme de liberté d’expression, permettant tout au moins de forger sa propre opinion de chaque approche thérapeutique. Malheureusement, tous ne disposent pas des mêmes moyens, ni des mêmes méthodes. Si bien que certains laboratoires oeuvrant réellement pour votre santé avec de nouvelles approches, ou grâce à des applications traditionnelles, croulent littéralement sous la pression de laboratoires

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pharmaceutiques pour lesquels vous n’êtes que statistiques et chiffre d’affaire. Fort heureusement la sécurité sociale, demandant une cotisation obligatoire à ses adhérents n’ayant jamais eu d’autre choix que d’adhérer, a mis en place un système impartial garantissant les meilleures solutions pour votre santé... en théorie. En pratique l’AFSAPS, la sécurité sociale et « Si seulement les industriels pharmaceutiques nous l’EFSA, sont devenus empoisonnaient moins et laissaient une petite place au si intimes, que bien "choix" de nos soins !!! Actuellement vu le non remboursement, les médecines naturelles sont moins qu’ils aient conscience tentées alors qu'il y a de très bons résultats! » du danger qu’ils vous font courir à chaque nouveau médicament douteux lancé sur le marché, ils n’hésitent pas à faire en sorte qu’aucune innovation thérapeutique venue de l’extérieur, ne soit accessible. Le Dr Moulinier va vous l’expliquer dans cette interview de 8mn, que vous pourrez si vous avez davantage de temps regarder intégralement dans version de 18mn en suivant ce lien. Ainsi privé de toute facilité pour vous intéresser à d’autres solutions, désinformé, et maintenu dans la peur du danger, il ne reste finalement pas d’autre alternative que de continuer à vous empoisonner, ou payer des remèdes naturels très chers et non remboursés par la sécurité sociale... Il ne faudrait pas oublier qu’il s’agit ici de votre argent ! Pourtant personne ne vient vous demander si c’est vraiment ce que vous souhaitez. La sécurité sociale dicte la marche à suivre et... après avoir travaillé votre vie durant en payant cette même sécurité sociale, vous consentez indirectement à ce funeste destin. Pire que cela, vous participez aux nombreux décès liés aux effets secondaires des

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médicaments. Vous n’étiez peut-être pas d’accord avec tout cela, cependant vous n’avez rien dit. Qui ne dit mot... Nous sommes en 2012, lorsqu’on y pense, ce chiffre a encore pour certains quelque chose de futuriste, quelque chose de lointain. Pourtant il n’en est rien, c’est aujourd’hui ! « URGENT Pétition pour les gens malades ne trouvant de solutions que par des médecines parallèles... et non remboursées par la Sécu. SIGNEZ cette pétition pour que nous ayons une aide de la sécurité sociale, cela lui coûtera MOINS cher que de rembourser des médicaments inefficaces ou des spécialistes qui ne peuvent rien pour nous ... MERCI DE TOUT COEUR... Une fibromyalgique incurable... par la médecine traditionnelle !!!! »

Afin de défendre notre liberté citoyenne, la rédaction a mis cette pétition à votre disposition, demandant une reconnaissance et un remboursement des médecines naturelles par la sécurité sociale. Choisir ne devrait pas être un privilège, c’est votre droit ! En obtenant 100 000 signataires, nous organiserons une conférence de presse avec Madame la Ministre de la santé et des affaires sociales. Réclamant avec l’appui de votre signature, de respecter la convention de la défense de la liberté et de la sauvegarde des citoyens. Il est important de faire connaître et circuler cette pétition autant que possible en copiant/collant cette adresse : http://www.reponsesbio.com/2012/06/05/sauvons-les-medecinesnaturelles/ Servez-vous de votre réseau social, de votre carnet d’adresses, d’un blog ou d’un site, tous les moyens que vous trouverez pour participer à la

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défense de la liberté thérapeutique en faisant connaître cette pétition, ouvriront les portes d’un nouveau système de santé. « Ce système est totalement obsolète. Il serait grand temps de prendre en compte les médecines "naturelles", de mettre fin au gaspillage et au monopole du tout chimique des géants de la pharmacie. »

Rembourser les médecines naturelles par la sécurité sociale, c’est mettre tous les acteurs de la santé sur un pied d’égalité et ainsi permettre à la sécurité sociale, de retrouver le sens initial de sa création. C’est à vous d’agir ! Suivez ce lien pour signer la pétition.

« la liberté de choisir! et arrêter d'être empoisonné par les laboratoires qui ont le monopole sur nous "fric fric". »

« Je dois beaucoup à l'acupuncture et à l'homéopathie, qui m'ont tiré d'affaire bien des fois. »

« On doit nous laisser libre de se soigner autrement qu'avec des médicaments chimiques !!!! »

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Révélations du Docteur Moulinier En 1984, Didier Moulinier, alors doctorant en médecine, soutient une thèse en cancérologie à l’Université de Paris-Nord, sur la cancérométrie de Vernes. Etudiant du Pr Israël, cancérologue réputé, il tente d’associer aux traitements conventionnels certains remèdes naturels à la toxicité moindre. Il participe aux séminaires médicaux du Gretac (Groupement de recherches et d’études des thérapeutiques allopathiques et complémentaires), où il confronte ses résultats avec ceux de ses confrères. « Merci au docteur Moulinier de se faire la voix des millions de gens dépossédés de leur droit de se soigner par la Sécurité Sociale, devenue un organisme à la botte du monde des laboratoires pharmaceutiques, et surtout derrière eux, de la poignée de véritables fous oeuvrant à la destruction de la vie. D E C L E N C H O N S L E T S U N A M I D E P R O T E S TAT I O N Q U I N O U S S A U V E R A ! »

Depuis, il pratique et défend la cancérométrie de Vernes, selon laquelle le seul moyen d’obtenir d’une thérapeutique le maximum d’efficacité, quelle que soit la maladie à traiter, est de l’adapter à chaque cas clinique pris individuellement et de déterminer pour chaque patient les produits auxquels il réagit le mieux. La surveillance, par des bilans sanguins pratiqués à intervalles réguliers ne permet pas seulement au praticien d’apprécier l’incidence de ses prescriptions sur l’évolutivité de la maladie. Les bilans Vernes le renseignent régulièrement sur l’état des systèmes immunitaires, celui du foie et celui des émonctoires. Il s’agit de trouver des moyens de limiter les effets de la toxicité des médicaments chimiques, engendrant des déséquilibres métaboliques importants dans un organisme déjà affaibli par la maladie.

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Rapidement le Dr Moulinier décide d’être non conventionné, afin de garder une plus grande liberté d’action et de prescription. Compte tenu de ce statut, il ne bénéficie d’aucune aide de l’Etat par rapport à ses charges sociales, mais il n’a pas non plus de comptes à rendre à la sécurité sociale. En 1996, il est condamné pour avoir prescrit du Carzodelan, extrait d’enzymes pancréatiques dissolvant sélectivement les cellules tumorales, encore distribué en Allemagne il y a peu.

« Les traitements dits naturels et ceux homéopathiques bien prescrits sont efficaces et sans danger, contrairement aux traitements chimiques et moléculaires qui jouent à l'apprenti sorcier sans forcément se préoccuper du patient (molécules de synthèse ou copiées ou extraites de plantes ) : ces derniers non reconnus par le corps humain, s'avèrent mal tolérés tôt ou tard et le patient restera malade à vie, car aux symptômes primaires de sa maladie, s'ajouteront à la longue ceux liés aux effets secondaires de l'allopathie, ce qui fera de lui un "abonné" piégé par ce cercle vicieux auto-entretenu, avec un surcoût pour la sécurité sociale ... »

Ce médicament, non labellisé, n’est pas autorisé en France, sous prétexte que les risques encourus par les patients ne sont pas mesurés. Le coût des études cliniques permettant l’acquisition du-dit label étant très élevé, les petits laboratoires fabriquant ces remèdes phytothérapiques, organothérapiques, etc. se trouvent bien évidemment évincés. Comme c’est le cas aujourd’hui pour les plantes médicinales depuis la loi européenne (THMPD), nécessitant désormais des analyses fort onéreuses, afin de prouver leur efficacité, et d’être autorisées à la vente.

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Le Docteur Moulinier fait appel du jugement auprès du Conseil d’État, qui annule la condamnation, jugée insuffisamment motivée. Depuis plusieurs décennies, des médecins sont régulièrement poursuivis et condamnés par leur Ordre pour utilisation de « remèdes insuffisamment éprouvés ». Une appellation qui permet à l’Ordre de combattre l’utilisation des thérapeutiques complémentaires. La CPAM n’a jamais expliqué en quoi le non respect des règles de la Haute Autorité de Santé par un praticien pourrait être préjudiciable à un patient. Et dans les cas examinés, la CPAM ne produit jamais aucune plainte de patient. Comment se fait-il que dans cette affaire le Conseil Régional de l’Ordre des Médecins d’Aquitaine ait reçu près de 150 témoignages de soutien spontanément envoyés par les patients ?

« Chacun doit devenir responsable de sa santé et avoir le droit de choisir ses soins. Nos gouvernements doivent faire le nécessaire face à l'industrie gigantesque des laboratoires pour protéger leurs concitoyens. »

L’un des cas les plus spectaculaires de l’acharnement aveugle du protocole, est celui de monsieur V. qui devait être amputé de la jambe gauche pour une tumeur sarcomateuse qui s’avéra n’en être pas une. Ce geste chirurgical avait été décrété par le comité pluridisciplinaire de manière péremptoire. Mettant cette décision en doute, le Docteur Moulinier a demandé un avis chirurgical auprès d’un correspondant oncologue parisien, qui a considéré qu’il était préférable d’enlever cette tumeur sans pratiquer de mutilation. L’anatomo-pathologie a confirmé qu’il ne s’agissait nullement d’une tumeur sarcomateuse. La meilleure preuve en est que six ans après, ce patient est toujours en excellente santé et n’a présenté aucun signe de récidive. La CPAM n’a cessé de le poursuivre, jusqu’à ce qu’une sanction soit prononcée le 7 avril 2011 par le Conseil Régional de l’Ordre des

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Médecins, lui infligeant une interdiction de donner des soins aux assurés sociaux pendant une durée d’un an à compter du 01 juillet 2011. Cette décision a été frappée d’appel par le Dr Moulinier que nous vous invitons fortement à assister le 12 juin au Conseil National de l’Ordre des Médecins, 180 boulevard Haussmann, Paris 8ème. Signez cette pétition pour défendre votre liberté de choix thérapeutique. Les scandales de ces dernières années nous amènent à nous interroger sur ces différentes affaires, tant sur le plan humain que sur le plan de la déontologie médicale. Les différentes affaires concernant les médicaments ou les techniques médicales font malheureusement régulièrement surface : sang contaminé, hormones de croissance, Halcion, anti statices, Viox, Médiator... Pourtant, ces produits avaient tous été agrémentés, expérimentés et avaient obtenu leur AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). « Nous refusons d'être empoisonnés par les médicaments chimiques et le Cartel Pharmaceutique ! »

De nombreux chercheurs ont été aussi inquiétés et poursuivis : Jean Solomidès, Mirko Beljanski, Antoine Priore, Jacques Benveniste, Loïc Le Ribault ou encore Tomatis, Quinton, Pierre Tubery... Médecins ou non, ils ont mis au point des traitements salvateurs ; ils ont pourtant été victimes de la vindicte ordinale, professionnelle, ou procédurales (harcèlement fiscal, attaques pour exercice illégal de la pharmacie, de la médecine, poursuites pour thérapeutiques «non éprouvées scientifiquement»...). Les pressions qu’ils ont subies sont autant de moyens utilisés pour les ruiner. Pourtant ces traitements, inconnus de

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beaucoup, ont permis à de nombreux patients qui en témoignent, d’aller mieux, voire de guérir complètement de maladies graves, pour lesquelles la médecine conventionnelle les avaient condamnés. Il nous appartient aujourd’hui de faire entendre notre voix afin de ne plus être les victimes du silence. Signez la pétition : http://www.reponsesbio.com/2012/06/05/ sauvons-les-medecines-naturelles/ « Halte aux dictacts des lobbies financiers sur la santé publique. »

Natacha Lange et Nicolas Send

« Nous demandons que les médecines naturelles et alternatives soient remboursées par la sécurité sociale. Nous demandons que le patient soit respecté et qu'il ait le libre choix thérapeutique. »

« La médecine chinoise vieille de plus de 5000 ans a fait ses preuves, pourtant elle n’est pas reconnue. Les plantes utilisées dans les médecines douces sont des plantes produites industriellement. Les connaissances médicinales tendent à se dissiper dans les mémoires, l’industrie pharmaceutiques propose des remèdes qui souvent entraînent de nouveaux maux et est très onéreuse, les médicaments génériques, ne possèdent pas les mêmes propriétés que les médicaments de « marque », pourtant ils sont produits par les mêmes fabricants. Alors merci aux personnes qui se battent pour les médecines naturelles, on enseigne même plus les vertus des plantes dans les écoles, les jeunes ne font plus d’herbiers, ils sont incapables pour la plupart de différencier un noisetier d’un chêne. »

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L’herboristerie revient... mais dans quel état ? Vous souvenez-vous de cette époque fabuleuse où les villes et les campagnes, débordaient littéralement de petites herboristeries d’où s’échappait la senteur inattendue d’un mélange foisonnant de plantes ? Lieu hors du temps où vous pouviez rencontrer un de ces érudits à l’air espiègle, toujours prêt à vous conseiller une tisane ou une décoction, sortant à l’improviste une petite fiole de ses étagères qu’il vous proposait pour résoudre le problème de santé vous préoccupant ? « Pour sauver les médecines naturelles, unissons-nous et exigeons du législateur de reconnaître notre droit à des soins naturellement efficaces. »

Et bien non seulement cette époque est révolue, mais il y a de grandes chances pour que nos enfants ou les plus jeunes d’entre nous n’aient jamais la possibilité de la voir renaître... comme avant. Si, après de nombreuses années désertiques pour les herboristes, Mr Jean-Luc Fichet présente finalement un projet de loi visant à créer un « nouveau » diplôme d’herboriste, il est insidieusement convenu dans cette loi, que les herboristeries soient désormais sous la tutelle de l’AFSSAPS, dont la relation voire l’étroite collaboration financière avec certains gros laboratoires pharmaceutiques est évidente. Cela entrainerait inéluctablement un nouveau monopole, certes profitable à l’industrie pharmaceutique mais qui ne manquera pas de léser ceux ayant eu le courage de continuer leur beau métier, jusqu’à ce qu’on les reconnaisse enfin. C’est à dire les véritables herboristes, les seuls ayant de nos jours une connaissance ainsi qu’une expérience littéralement irremplaçables.

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Ils disparaîtraient totalement pour laisser la place à de faux herboristes en quelque sorte, proposant des remèdes d’une efficacité réduite voir nulle, dont la connaissance très approximative du métier, suite à l’examen passé dans des locaux loués par Servier pour payer ses frais d’avocats, ne servirait finalement qu’à générer davantage de profit rentrant directement dans les poches du créateur du futur Médiator... «Le syndicat des simples», soutenant la profession d’herboriste, a été ainsi contraint de proposer une modification du projet de loi tant attendu de M. Jean-Luc Fichet, afin que le métier d’herboriste qui n’existe légalement plus depuis 70 ans, puisse être reconnu, mais également indépendant de tout monopole. Il propose en l’occurrence un comité de contrôle formé d’experts aussi bien préoccupés par l’efficacité du métier que par les profits indispensables à son fonctionnement, et naturellement exempts de toute affiliation malencontreuse. « société de consommation, même la santé est devenue business! merci pour cette information ! »

Il nous a donc semblé intéressant de vous offrir à cette occasion l’interview de M. Michel Pierre, herboriste depuis plus de 40 ans et auteur de nombreux ouvrages sur le sujet, tenant une des dernières herboristeries, au Palais royal à Paris. Ce grand homme ayant patiemment laissé infuser la science de l’herboriste en lui, ne serait aux yeux de la loi qu’un vulgaire charlatan ? Indigne d’enseigner aux futurs herboristes ? Et surtout, n’ayant plus le droit de commercialiser ses produits sans l’obtention d’un nouveau diplôme ? A vous d’en juger après lecture de cette interview... Suivez ce lien pour signer la pétition.

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La peur, une arme de manipulation massive... Vous avez certainement été au moins une fois dans votre vie confronté à une erreur médicale, vous-même ou un de vos proches. Je veux vous raconter ici la situation dans laquelle s’est retrouvée mon amie la plus précieuse entre toutes, au cours de sa grossesse. Enceinte d’un peu plus de sept mois de son premier enfant, elle se rend à l’hôpital pour une visite mensuelle avec une sage-femme, ainsi qu’un anesthésiste dans l’hypothèse d’une péridurale ou d’une intervention chirurgicale. Cela est devenu une étape incontournable pour toutes les femmes enceintes. « la médecine classique est utile, ce qui l'est moins c'est la plupart des médicaments donnés trop souvent sans réel besoin et en quantité exagérée, j'en parle en connaissance de cause. »

Tout d’abord elle patiente plus de trois heures dans un couloir, avant de rencontrer le médecin anesthésiste. Ayant raté son rendez-vous avec la sage-femme, elle tâche de savoir si la consultation peut avoir lieu, malgré l’heure avancée... Elle est finalement reçue. Au cours de cet examen classique, presque de routine, elle indique qu’elle a de petites contractions quotidiennes, espérant en savoir un peu plus, et surtout recevoir quelques conseils pour mener sa grossesse à terme dans les meilleures conditions. Immédiatement alertée, vraisemblablement plus par la peur d’une négligence médicale de sa part que par la gravité réelle du cas, ne voulant « prendre aucun risque », son interlocutrice appelle aussitôt le service des urgences pour qu’ils la prennent en charge et pratiquent des examens plus approfondis.

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Prise de cours et inquiétée plus qu’apaisée, mon amie subit une échographie endovaginale ainsi qu’un monitoring d’une demie-heure, et on lui fait prendre plusieurs cachets d’Adalate stoppant généralement ce genre de contractions. Les contractions s’accentuent, et c’est la peur qui s’installe. Après quatre heures passées dans une petite pièce remplie de vieilles machines usées, le médecin urgentiste vient lui annoncer qu’il a décidé de poursuivre le traitement ainsi que le monitoring jusqu’à ce que les contractions disparaissent, et qu’elle doit donc passer la nuit là-bas. Elle évoque la possibilité de rentrer chez elle, afin d’attendre que les contractions s’apaisent naturellement. Le personnel hospitalier ne l’envisage pas une seule seconde, considérant cette hypothèse comme extrêmement « dangereuse » et « inconsciente », insistant sur le fait que son état est grave ! Elle est enceinte après tout. « La liberté de choisir une médecine qui convient à notre corps ! sans détruire le système immunitaire ! le Respect du Sacré de la Vie! s'il vous plait ! »

« Au cas où » sont les mots les plus prononcés par tous les soignants : « au cas où le bébé arriverait cette nuit, nous devons vous garder », « au cas où il naîtrait maintenant, nous allons vous faire une piqûre de cortisone, afin d’aider au développent de ses poumons », etc. etc. Nous sommes aux urgences ! Il doit forcément y avoir urgence ! Non ? Il est environ minuit, et défile alors le grand attirail des aiguilles, comprimés, suppositoires, gélules... Mon amie n’ayant rien avalé depuis le déjeuner, est très affaiblie et bien entendu les contractions s’intensifient. La machine infernale est lancée, le cercle vicieux de la peur et de ses conséquences somatiques s’enclenche.

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L’infirmière ayant été avertie par mon amie qu’il ne fallait en aucun cas lui donner davantage de médicaments, risquant de provoquer une réaction allergique, disparaît comme par enchantement. Elle est remplacée par une autre, la troisième à laquelle elle a à faire en l’espace de quelques heures ; celle-ci n’ayant eu d’autre choix que de faire des heures supplémentaires... Dans la même chambre, une autre jeune femme en retard d’une semaine sur le terme prévu de son accouchement, est quant à elle gavée de médicaments pour que son bébé arrive au plus vite... Comme les contractions de mon amie s’accélèrent, on lui administre du Salbutamol en perfusion. Elle le supporte assez mal et passe toute la nuit avec un pouls à 130. Toujours à jeun, à bout de forces, elle demande à ce que l’on baisse la dose de médicament, et qu’on lui apporte quelque chose à manger. « À l'heure où beaucoup de médicaments sont retirés du marché pour leur dangerosité, il est sans soute temps de trouver des solutions alternatives... »

Deux biscottes plus tard, le médecin vient constater l’inefficacité du médicament, et décide d’en essayer un plus fort : le Tractocyl. Une infirmière retire la perfusion de Salbutamol, laissant le cathéter en place. Avant de l’installer en perfusion, elle injecte un « bolus initial » de Tractocyl. Et c’est le black out : étourdissement, tachycardie, sueurs, étouffement. Elle s’évanouit pendant qu’une dizaine de soignants affolés se précipitent dans la chambre. Sous oxygène, mon amie revient à elle une vingtaine de minutes plus tard, pour assister à un déni général de ce qui s’est produit. Comme si elle avait passé une bonne nuit de sommeil et que absolument rien d’anormal ne s’était passé. Elle demande à en savoir plus, mais c’est du bout des lèvres qu’on lui répond qu’elle a fait

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une petite tachycardie, qui n’est qu’un effet secondaire très banal de ce traitement. Ils la transfèrent ensuite en salle de réveil pour une surveillance plus complète : électro-cardiogramme, prise de sang, etc. Plus tard dans la journée, un anesthésiste vient la voir pour discuter avec elle de ce qui s’est passé le matin même. Présent au moment des faits, il explique que c’est certainement un Oedème de Quincke, provoqué par la poussée brutale des deux médicaments dans le cathéter. « Je demande d'avoir le choix de me soigner comme je l'entends et que je puisse être remboursé des traitements salutaires qui aident l'organisme à se réparer sans effet secondaire désagréable, inconfortable ou voire même délétère. Je cotise pour aussi avoir le choix. »

Réaliser qu’une seule des personnes présentes ait accepté l’erreur et tenté de l’expliquer, laisse perplexe. Il ne s’agit pas de critiquer le personnel hospitalier qui fait ce qu’il peut, pendant un nombre d’heures bien trop grand pour être attentif à chacun des patients. Constatons simplement à quelle extrémité nous sommes livrés. Mon amie décida de ne jamais plus prendre aucun médicament, et demanda l’arrêt définitif du monitoring. Le bon sens et les choses simples reprirent finalement le dessus, en commençant par un bon repas, une longue séance de relaxation, la présence rassurante du futur papa et une nuit bienfaitrice, sans tubes ni sangles. Les contractions disparurent au matin, elle prit la fuite, et un mois plus tard son enfant vint tout naturellement au monde.

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Nous sommes dans l’obligation morale de nous interroger : ➡

sur tous ces actes médicaux justifiés par le seul protocole,

➡

sur le nombre vertigineux d’erreurs médicales commises à l’hôpital,

sur la peur transmise au patient pour qu’il se soumette à son institution, ➡

sur le processus de dépossession de sa propre santé, de son libre arbitre, que cela entraîne. ➡

Nous sommes aujourd’hui dans l’obligation d’agir ! Notre santé vous appartient.  

Eva Louprat

« j'approuve et je signe, permettre à chacun et chacune de choisir, la santé est un bien trop important, il ne doit pas être laissé entre les mains des laboratoires pharmaceutiques ... nous devons avoir le choix et être remboursé de la même façon ... »

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On continue ? L’affaire «Protelos» Que désirez-vous ? Qu’on vous livre le confort et la pizza à domicile ? Qu’on vous assure sécurité, santé et longévité, plus le haut débit, pour des sommes modiques ? Et surtout qu’on vous laisse regarder tranquillement le match de foot à la télé ? Et bien tout cela est possible ! Il vous suffit d’abandonner tout pouvoir à ceux qui précisément veulent de ce pouvoir. Voyez comme le monde est bien fait ! Seul problème : Parmi ces industriels et hommes politiques qui sont au service de votre insouciance s’est glissée une proportion non négligeable de malades d’avidité qui sont plutôt à leur propre service, c’est-à-dire au service de leur mégalomanie, et qui vous manipulent, vous exploitent, et incidemment vous empoisonnent et vous assassinent avec d’autant moins de scrupules qu’ils ne vous ont jamais regardés autrement, que comme un troupeau de vaches ou un carré de légumes. « En réalité nous ne vivons plus dans une démocratie, décider au-dessus de nos têtes, en ne nous laissant plus le choix des soins sur le plan médical, c'est fouler aux pieds les droits de l'Homme »

C’est le cas – entre mille – de votre ami Servier qui, comme vous le savez si vous suivez l’actualité, a commis l’erreur irréparable de se faire prendre en train de travailler à la santé publique sans trop se soucier d’un dommage collatéral de près de 500 à 2000 cadavres (si l’on en croit les rapports judiciaires concernant le fameux Médiator ).

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Et quand je dis « sans trop se soucier des dommages » il ne faut évidemment pas comprendre « des dommages éventuels » mais bien « des dommages certains ». Car votre ami Servier, secondé dans sa tâche par vos amis les professeurs Claude Griscelli, ex directeur de l’INSERM, et Jean Acar, ont réuni leurs efforts et compétences pour minimiser les terribles effets secondaires du Médiator, un produit pourtant prometteur puisqu’il avait tout d’abord été vendu comme anti-diabétique, puis comme amaigrissant. Il aurait sans doute pu continuer de nombreuses autres belles carrières comme anti-verrues ou anti-rides. Pourquoi se limiter ? « Il faut en finir avec ces criminels, ce devrait être le rôle du gouvernement de voter des lois permettant de protéger la santé des citoyens. »

Le plus difficile en l’occurrence, n’était pas de lui trouver un emploi mais de dissimuler ses effets anorexigènes pour obtenir son autorisation de mise sur le marché. Alors à présent, bien-sûr, l’affaire Servier suit son cours. Des milliers de plaintes s’empilent sur le bureau du juge et l’on s’attend à ce que les dédommagements s’élèvent à plusieurs centaines de millions d’euros. De quoi ruiner l’empire Servier, certes, mais certainement pas de mettre fin aux exactions de tous ceux qui ne se sont pas encore fait prendre et qui ne s’embarrassent d’aucune éthique tant qu’il s’agit d’acquérir argent et pouvoir. Ne serait-ce que chez Servier, un deuxième « médicament » est aujourd’hui dans le collimateur de la justice : « Le Protelos » auquel on

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reproche d’entrainer des pertes de mémoire, des crises convulsives, nausées, diarrhées, affections cutanées, allergies... Rien que ça ! Mais ne croyez pas que le « Protelos » ou le « Médiator » soient des cas isolés. Consultez la liste des médicaments allopathiques dans le Vidal et vous verrez que cet annuaire de la santé ressemble plutôt à une invitation au cimetière. En face : combien ai-je connu de merveilleux Naturopathes qui s’étaient mis avec la plus grande honnêteté et le plus parfait dévouement au service de votre santé véritable, qui se sont retrouvés en prison pour exercice illégal de la médecine... pendant que des « Servier » manipulaient médecins, hommes politiques et fonctionnaires pour s’enrichir au dépend de votre santé et dénigrer pseudo-scientifiquement les médecines douces ? Alors, on continue comme ça ? Ou on arrête ? Jean-Baptiste Loin

Je signe la pétition.

« Il serait grand temps que chaque être humain soit responsable et ne se laisse plus maltraiter par une médecine pour laquelle nous ne serons jamais que des cobayes des années à venir et ainsi de génération en génération !!! »

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Les premiers commentaires de la pétition

« Bravo pour cette initiative, nous en avons grandement besoin ! »

Laissez aussi votre commentaire en suivant ce lien.

« Il est urgent que soit reconnue la médecine environnementale en France comme c'est le cas chez nos pays voisins !!!!!! »

« et la prévention !! quand la considérera t-on comme un bienfait ? »

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« parce que ça marche ! »

« Attention, médecine naturelle ne veut pas dire médecine "douce" ou anodine ou encore sans risque !  Les plantes ont de puissants pouvoirs que ce soit en Phytothérapie ou en Aromathérapie. Il y a aussi des règles et des dosages ou des associations à ne pas faire...et le corps peut aussi réagir violemment. Il ne s'agit pas d'être un apprenti sorcier. Les conseils et les connaissances des thérapeutes sont incontournables. En tous cas, Merci à Réponses Bio de nous permettre de signer cette pétition pour le droit sur le choix des soins et traitements. »

« liberté de soins avec les médecines naturelles. merci. »

« C'est à nous citoyens de prendre notre santé en mains. »

« Nous avons besoin d'une alternative à la médecine conventionnelle, c'est à dire d'une médecine environnementale comme c'est le cas en Suisse, et d'autres pays d'Europe, reconnue et prise en charge par l'assurance maladie. »

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« La santé est une affaire personnelle! Je veux être libre de choisir le chemin qui me permet de rester en santé et pour cela promouvoir la prévention. Je souhaite que soit revu le bilan santé de chaque citoyen au regard des méthodes thérapeuthiques qu'il ou elle a utilisé pour se maintenir en santé. Faire de la prévention par les moyens naturels une priorité et que la prise de conscience se fasse dès l'école maternelle. Cessons d'être des pantins entre les mains de la science toute puissante qui est plutôt concentrée sur la puissance financière que sur la promotion du VIVANT! »

« Bien sûr nous allons tous vers la mort mais allons y en restant en bonne santé le plus longtemps possible! » « Je préfère le terme "médecines alternatives" à "naturelles"… mais je signe des deux mains ! »

« J'en ai ras le bol de me faire racketter par la sécu en payant mes cotisations sociales et de devoir encore payer de ma poche les traitements que je choisis parce qu'ils sont alternatifs, sans doute pas assez toxiques pour la CPAM! »

« Il est indispensable et JUSTE que les médecines naturelles soient reconnues et remboursées, cela fera faire des économies à la sécu. »

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« La santé est une affaire personnelle ! Mais pas seulement ! J'adhère totalement à cette démarche. » « La prévention est le premier traitement pour se maintenir en bonne santé ! »

« Personnellement c'est l'inverse, je préfère Médecines naturelles à Médecines alternatives. Elles ne sont pas forcément une alternatives et peuvent parfois être complémentaires de la médecine allopathique. N'oublions pas qu'il existe deux médecines, celle qui sauve des vies (accidents, AVC, chirurgie de pointe, etc.) et la médecine pognon des lobbys qui nous invente des maladies et nous rendent malades avec les médicaments aux mille effets secondaires. Bonne journée à tous. »

« Il est grand temps de reprendre notre destin en main. C’est le réveil des consciences ! »

« Une parité européenne. Effectivement les médecines naturelles, ou quelque soit le nom qu'on veuille leur donner, sont déjà largement reconnues dans la plupart des pays frontaliers et européens. Comment se fait-il que la France soit si récalcitrante en la matière ? Il y a effectivement urgence : que les urgences, débordées dans les hôpitaux, ainsi que tous les acteurs de la santé, puissent profiter de l'expérience irremplaçable de tous ceux ayant voué leur vie à soigner leur semblables... quelque soit leur médecine ! »

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« Allergique à l'allopathie, j'ai été "contrainte" d'utiliser les méthodes naturelles ... et avec succès ... L'importance du non-remboursement de ces pratiques naturelles grèvent le budget des ménages de façon considérable ... c'est pourquoi, c'est avec conviction sur la nécessité d'un juste droit au remboursement pour les méthodes naturelles qui pour certaines personnes sont les seules voies possibles pour se soigner et non un CAPRICE, QUE JE SIGNE CETTE PETITION. »

« Cupidité et Efficacité sont dans un bateau. Efficacité est poussée à l'eau. Qu'est-ce qui reste ? »

« oui, je suis complètement convaincue, des vies ont été sauvées grâce à ces médecines parallèles. »

« donnons le choix et l'information aux patients »

« voilà plus de 35 ans que j'ai découvert l'homéopathie pour soigner mon fils qui avait de l'eczéma, puis le rhume des foins. puis nous pour d'autres maux et maintenant nos petits enfants sont traités à titre préventif »

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« En France est remboursé et autorisé dans notre système de santé tout ce qui nous empoisonne !!!! »

« Les laboratoires pharmaceutiques puissants instrumentalisent les instances médicales tels les conseils de l'ordre (Tribunaux de l'Inquisition pharmaceutique et médicale) pour interdire tout ce qui peut porter ombrage à leur cupidité insatiable. Autrefois l'Inquisition brûlait les hérétiques (c. à d. ceux qui tentaient d'ouvrir des voies nouvelles); aujourd'hui, les Conseils de l'Ordre et la CPAM "grillent" ceux qui risquent, par de petits grains de sable, de bloquer les rouages des machines à faire du fric sur le dos des malades. Que des charlatans nuisent à des malades avec des conséquences graves ne les alarme pas car ils apportent la preuve qu'en dehors du corps médical point de salut. Mais que l'un des leurs, par des méthodes non conventionnelles réussisse là où eux ont échoué, c'est insupportable! Il faut donc le "descendre en flamme" pour un tel affront à leur "scientifique" compétence. Derrière chaque condamnation de ce genre se profile l'ombre maléfique de Torquémada. Comme dans l'opéra Faust de Gounod, nous pouvons entonner tous en chœur « Le Veau d'Or est toujours debout ! »

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« Les effets secondaires font partie des dommages collatéraux des médicaments chimiques. Un mal pour un bien pour certains. Mais pour ceux qui choisissent de comprendre leurs maux, de guérir les causes des dysfonctionnements que sont les maladies, et de se soigner autrement, alors les médecines naturelles doivent avoir une place à part entière dans le système de santé. »

« déjà qu’elles ne soient pas retirées mais remboursées par la sécu ! soyons fous ! :) très bonne démarche. »

« Si 80% des médecins refusent la chimio quand on leur diagnostique un cancer alors qu'ils la prescrivent à leurs patients, cherchez l'erreur !!!!!!! »

« Pas fou du tout, utile, nécessaire, voire vital ! »

« Personne n'a le droit de nous interdire de nous soigner dignement !!!!!!! » « J'ai signé sans problème, moi qui suis empoisonnée par tous les médicaments chimiques de l'industrie pharmaceutique!!!! » « Je viens de signer ! Je partage aussi ! » « certainement c'est une très bonne action, chacun son libre choix, je signe avec plaisir »

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« Nous sommes tous concernés »

« Je soigne ma petite famille et moi-même ainsi et quel bonheur. Le déficit de la sécu ? connais pas ! »

« A savoir : c’est remboursé en Suisse et certains hôpitaux en Angleterre et aux US recrutent des praticiens... Allons-nous rester en retard ?! »

« Ca peut pas faire de mal... »

« C’est en tant que praticienne en réflexologie plantaire, shiatsu et do in (et bientôt Qi Gong, qui est une autre discipline de la médecine chinoise) que je l’ai signée !! »

« Soyons libre et responsable dans la façon de nous soigner et de préserver notre santé et celle de nos enfants. Halte à la désinformation et au marché juteux concernant les médicaments et leurs prescripteurs. Revenons au «bon sens» pour que nos maux divers ne soient plus un sujet de commerce mais un signal pour une vie plus saine... »

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« Il sera toujours possible de cueillir des plantes dans la nature, toutes les lois du monde ne peuvent rien contre la volonté de ceux qui veulent résister contre le diktat des labos et des politiciens aux basques de ces derniers ! »

« Oui... SIGNEZ cette pétition pour que nous ayons une participation de la sécurité sociale, cela lui coûtera MOINS cher que de rembourser des médicaments inefficaces ou des spécialistes minés par les labos et qui ne peuvent rien pour nous... »

« La carte hospitalo-universitaire de la médecine et de la dentisterie officielle est l’ennemie du système de santé ! Elle ne tient pas à ce qu’on remette en cause son pouvoir et ses privilèges ! Oui à une médecine et dentisterie holistique responsable. »

« Vive la France Libre !!! »

« En démocratie, on doit pouvoir choisir comment se soigner !! »

« Veuillez lire ces livres : Savants maudits, chercheurs exclus Edition Trédaniel de Pierre Lance 4 tomes. L'industrie du médicament est une imposture du même acabit que Wall Street ou la City.... Détruisons-les ! »

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« c'est scandaleux, la sécurité sociale actuellement , elle ne sert qu'a enrichir les grands groupes pharmaceutiques au détriment des médecines douces, de l'ostéopathie etc, etc... »

« Encore un effort, nous y sommes bientôt... »

« Gare aux effets secondaires de certains traitements prescrits uniquement pour satisfaire un lobby très puissant bien implanté en france et qui ne laisse pas la place à certaines médecines alternatives. Continuons la résistance !!! (PS : atteint moi même d'une maladie incurable que je persiste à traiter par d'autres médecines) »

« Tout citoyen doit normalement avoir le droit de choisir librement par qui et comment être soigné. Ce droit est à assurer par la société dans la limite du possible. »

« Pour toi Fanny!! et tous les malades »

« Incurable ou devant laquelle la médecine est impuissante ? nuance »

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« tout a fait d accord ! moi j' ai subi le crestor pendant des années (douleurs + douleurs) personne ne trouvait ! » « La complémentation alimentaire à base de plantes fait réaliser des économies à la sécu. Mais la sécu est payée par la masse et ça rembourse la chimie des labos. Où est donc le problème ? Mhh! »

« On est peut-être pas obligés de les détruire ... Les plantes ne font pas tout, surtout en dernier recours »

« Sécurité Sociale : S.S. Euthanasie : État nazi Comment la plupart des médecins peuvent-ils continuer à être dupes des apparences ? »

« Nous ne sommes pas ici pour détruire ou pour attaquer, pas plus que pour faire de la politique. Nous sommes ici pour que l'humain retrouve ses droits. Il est dans notre droit de cotiser comme nous l'entendons. Comme il est dans notre droit de refuser que cet argent serve à tuer d'autres êtres humains, et qu'en démocratie avoir le choix fait partie de nos droits les plus fondamentaux. Une fois que notre système de santé sera enfin ouvert aux alternatives, ce qui ne participe pas à la santé de l'humain n'aura naturellement plus de raison d'être. »

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« le malade imaginaire.. Pourquoi les patients seraient -ils pris en considération…Ils ne sont que des vaches à lait qui remplissent les bourses des médecins et surtout des laboratoires… La sécurité sociale n’est que la marionnette des labo.. Il ne faut surtout ne pas informer le patient qui ne doit pas prendre de médicament, et qui sera sur pied dans quelques jours.. ON lui prescrit des médicaments parce que les labo cherchent à s’enrichir.. Votons pour les médecines douces car elles, elles soignent réellement, et surtout par l’écoute du patient… et les prescriptions de complément alimentaire sont très efficaces et coûtent peu à la sécurité sociale… Mais les fameux scientifiques (les médecins) vont se révolter… Seulement il ne soignent pas l’esprit et le corps, le patient est un client… MALGRE TOUT IL RESTE DE BONS MEDECINS…. Pourvu que le gouvernement soit en faveur de cette pétition…. »

« Il serait temps également de ne plus s'acharner sur les personnes âgées très malades pour qu'elles puissent de nouveau mourir, non à l'hôpital bardées de tuyaux ! mais chez elles près des leurs ! c'est ce qui se passait il y à + de 50 ans avant que le soidisant progrès médical ne nous prenne en otage!! »

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« Ça montre bien, si besoin était, l’influence ou devrais-je dire la gouvernance des lobbies pharmaceutiques. Ils font absolument ce qu’ils veulent pour pouvoir vendre leurs saloperies. Le choix, c’est terminé. Prend ces médocs et tais-toi. Les patrons de la sécu sont les larbins des lobbies, des porte-flingues, des tueurs à gage. Mais qui sont ces décideurs ? Parmi eux, on trouve : Etienne Caniard, membre de la Haute autorité de santé et futur président de la Fédération nationale de la mutualité française (FNMF), et Jean Pierre Davant, son président actuel. Les mutuelles de cette fédération couvrent 37 millions de français. On retrouve aussi Daniel Havis, PDG de la Matmut, l’homme aux huit Porsche qui est aux valeurs mutualistes ce que le babybel est au fromage. [...]Guillaume Sarkozy, DG du groupe Malakoff Médéric et frère de l’ex-Président, et Frédéric Van Roekeghem (dit Rocky), DG de la CNAM et, en tant qu’ancien directeur des audits d’Axa, pas forcément très à l’aise avec le principe de solidarité en matière de santé… Ou encore Guy Vallancien, chef du département d’urologie à l’Institut mutualiste Montsouris, médecin traitant de la Mutualité française et auteur d’un livre dont le titre laisserait rêveur n’importe quel ultra libéral : « La Santé n’est pas un droit »… Tout un programme. Source : Comment le secteur privé prépare le démantèlement de la Sécurité sociale Mourez en paix, mes frères, on s’occupe de tout. »

« Merci ! Je vais signer tout de suite cette pétition et l'envoyer à mon frère, également très intéressé. A bientôt ! »

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« Je rajouterai la psychothérapie... pourquoi rembourser les anxiolytiques et autres anti-dépresseurs alors que la psychothérapie (psychologue, psychanalystes) non ? »

« A lire, à signer et à partager ! »

« Ce sont les médecines que j'emploie depuis longtemps. »

« je suis libre, mon propre médecin suivant la nature, et aucun souci de quelque ordre que ce soit ; au titre de citoyenne je demande INSTAMMENT que soient remises à plat et au pas toutes les dérives du système de santé et l’adjonction d'un strict contrôle citoyen aux instances qui se permettent depuis des décades ces comportements anti démocratiques si préjudiciables à la santé véritable. »

« il est temps de défendre les bonnes choses! les plantes font tellement de bien sans effets secondaires ! »

« Oui soyons fous ! Le plus important c’est qu'on ne nous les supprime pas ... nous devons continuer à avoir le choix de nous soigner selon notre convenance ! » « Très belle initiative !!! »

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« je suis pour avoir la liberté de choisir ma médecine, alors, je suis pour le remboursement de ces médecines. »

« arrêtons le massacre bien tissé des labos, rappelez vous de la Bachelot et ses vaccins zinzins.... la plante est guérisseuse depuis la nuit des temps ♥. »

« je suis complètement pour ! la liberté de choisir ! »

« empêchons certains grands groupes de devenir propriétaires et maîtres de tout ce qui est essentiel à la vie. La vie est notre bien à tous. L'empêchement des médecines alternatives est une effroyable violence de plus, faite à la liberté de vivre sainement et dignement. »

« ce sont d'immondes assassins ! il y a vraiment tout à changer dans cette merde de société ! il faut dissoudre tous les lobbys et donner le pouvoir au peuple ! avant d'aller fourrer leurs nez en Syrie ou autre, nos dirigeants feraient mieux de s'occuper à mettre une vraie démocratie EN FRANCE ! »

« Nous sommes intoxiqués par tout ce qui est chimique, alors revenons à ce qui est naturel ! »

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« Il y a du chemin avant que cela finisse par bouger mais la prise de conscience est l'un des premiers pas nécessaire... Merci à ceux qui portent ce projet essentiel à notre survie et celle des générations futures. »

« l'ordre des médecins est complice de cet énorme marché, et fait la chasse aux sorcières, de la médecine alternative. une médecine très chimique qui profite aux gros labos. courage au docteur moulinier! »

« Arrêtons de nous empoisonner avec des médicaments chimiques qui sont sans cesse sous surveillance ou retirés du marché !!!! »

« le choix à la médecine naturelle est un droit pour tout le monde, je veux être libre de me soigner par la médecine naturelle, la planète donne à tous et ce que la terre offre, nul n'a le droit de l'enlever! »

« Avant elles étaient gratuites chacun pouvait trouver dans sa région une plante qui correspondait à ses besoins, maintenant on en trouve de moins en moins avec la poussée des villes et la croissance de la population, ce doit être le minimum que de les rentrer dans les médicaments remboursables. »

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« j'approuve et j'ai signé, chacun et chacune à le droit de choisir, ne laissons pas les lobbys pharmaceutiques nous dicter notre conduite, il y a des médicaments qui sont bons, certes, mais aussi des médecines alternatives tout aussi efficace... les médecins qui nous proposent ces alternatives sont aussi compétents que les autres, pourquoi ne pas, enfin, le reconnaitre... »

« Ce n'est pas si fou! En signant cette pétition nous mettons tous les acteurs de la santé sur un pied d'égalité... Nous relançons l'économie et par la même occasion nous minons sciemment la branche pharmaceutique spéculant sur le déclin de l'économie et en profitant pour nous vendre des centaines de milliards d'euros de poison... remboursé par la sécu, lui! Ce réveil des consciences s'est vu pour le développement durable et la santé de notre mère la terre... Réapprendre à nous soigner c'est plus que jamais soigner la planète! Merci de votre signature, faites connaître ce mouvement. »

« allez on se bouge ! » « 50 % comme taux de remboursement est un minimum...il faut que tout soit correctement remboursé. »

« L'homme de tout temps s'est soigné avec le monde et la nature qui l'entoure. »

« La vie procède de la vie, pas de l'éprouvette d'un biochimiste tripotant des dérivés du pétrole ! »

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« Il faut aussi et surtout de l'information : il y a beaucoup trop d'habitudes et d'a prioris et de fausses idées par rapport au bio et aux médecines naturelles. »

« j'espère que cela va changer, et que tout le monde se joigne à moi pour signer. »

« Il est temps que les labos arrêtent de nous exploiter avec le monopole des produits ! »

« signée ; ma grand-mère déjà du fond de sa campagne se faisait parvenir des granules homéopathiques via le cousin L. de Paris »

« Ca coûtera toujours moins cher à la sécu !!!!! » « Le naturel préserve la vie ! »

« tout à fait naturel que la médecine douce soit remboursée par la sécurité sociale »

« Ceux qui nous rendent malade, nous guérissent. Ceux qui nous polluent, nous dépolluent. Il faut que cela cesse et que nos gouvernements fassent leur boulot, sans quoi, ce seront les extrêmes qui gouverneront bientôt ! et la guerre en perspective, c'est ce qu'attendent les banques................. »

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« C'est fait. J'estime que : Fin de cycle d'un côté (ne jetons toutefois pas le bébé avec l'eau du bain) et cycle (renouveau) qui commence de l'autre. Thierry Janssen préfère le terme de "médecines complémentaires". L'expression : "Approches médicales prenant en compte de manière la plus appropriée possible l'ensemble des processus de défenses des organismes à notre disposition" me paraîtrait approprié, cependant ce serait un peu long !! ♥ ;) »

« écoutons notre corps et merci aux naturopathes et à tous les acteurs de médecine douce de nous y aider. »

« Pour apporter du Confort à tous les stades de la vie, il est des plus intéressants et humains d'écouter l'appel de la Complémentarité de toutes méthodes douces visant le confort de la personne. Si on souhaite faire des économies santé c'est aussi cette étape qu'il faut franchir. Moins de malade égal + d'économie! C'est une belle initiative. Faire la sourde oreille c'est ne pas être soucieux de la personne et de ses soucis, et c'est bien dommage ! D'autres pays sont ouverts pourquoi pas la France ? La vie évolue il faudrait aussi que certains esprits bons pensant santé soient aussi les participants bienveillants pour la santé de tous ! Merci votre Soutien dans le but de bien vieillir le plus longtemps possible dans de bonnes conditions santé à la maison, par des méthodes dites douces et accompagné par tous les acteurs du confort O naturel ! Cette éducation prévention santé naturelle dite douce et complémentaire sera le partenaire idéal de tous pour une longévité de plus belle qualité ! »

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« les fleurs de Bach, les soins de Reiki , les massages aux huiles essentielles tout ça contribue largement à une santé adulte, mature... en partenariat avec d'autres traitements, cultivons l'unité dans la diversité ! » « Avec tout mon soutien !!! »

« la situation est toute particulière au bon pays de France. En Allemagne.. médecins allopathes, homéopathes, naturopathes, etc. et autres thérapeutes (médecines dites parallèles) travaillent ensemble. Il en est de même en Suisse. C'est beaucoup plus libre en Espagne ainsi qu'en Belgique et en Italie aussi -même du temps de Berlusconi- ..etc Mais ici (France) avec la survivance de tous ces ordres -pas nouveaux-.. (médecins, pharmaciens..notaires.. épiciers ? peut être pas épiciers.. ).. ça coince. Et puis aussi.. la sécu française ? le démontage est en court (et c'est plus facile à démanteler qu'une centrale nucléaire) Bien ou mal ? bien et mal ? Je ne sais pas. De fait, l'option -je rembourse ou je ne rembourse pas- est assis maintenant sur des choix politiques et financiers. L'industrie pharmacochimique s'engraisse avec la sécu.. Il en est de même des multiples docteur Knock (sous réserve qu'il y en ait des biens - quand même :) etc., etc. Social ? Il convient peut-être de rayer ce mot des dicos. Le concept a un goût de paradis perdu. Comme le virus de la variole, il est voie d'éradication .. C'était le raisonnement pessimiste du jour.. pessimiste dans l'apparence .. La .. les formes de société qu'"on" a actuellement .. Elles ne se sont pas construites sans le consentement d'une grande majorité (consentement manifesté soit intellectuellement ou par les comportements) Conclusion ? Je n'en ai pas. Pétitionner ? oui mais -bouger les mentalités- est certainement aussi important si ce n'est plus. »

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« Un grand bravo au docteur Didier MOULINIER pour son courage face aux lobbyings médico -pharmaceutiques qui voudraient le bâillonner. Enfin un médecin ose parler et dire haut et fort certaines vérités qui font mal à certains sinistres personnages avides d’argent et de pouvoir. J’espère que d’autres de ses confrères auront ce courage exemplaire et se joindront à lui. En attendant, je vous encourage vivement à signer la pétition si vous êtes de notre avis. Merci d’avance pour l’avenir de notre santé, et de notre système social qui est en piteux état ! »

« Un grand merci pour votre action. Ne lâchez-rien ! Le combat vaut la peine d’être mené. »

« Tout simplement pour avoir encore la liberté de choisir ! »

« les différentes médecines sont complémentaires et efficaces pourquoi toujours cette guerre occasionnée par les profits des laboratoires qui veulent garder le monopole des médicaments et de certains médecins qui ont peur de perdre des clients…! »

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« malheureusement notre démocratie tient plus du postulat que de la réalité ... ici et aujourd'hui c'est la pognoncratie qui mène la danse, alors le libre choix, et même la liberté ne sont que des déclarations d'intention dans la bouche des élus ;-( ! la réalité c'est pas touche aux intérêts des grandes firmes et surtout l'omerta sur les médecines alternatives ... » « Et comme il est quasi impossible de boycotter la médecine allopathique, tout l'intérêt de signer la pétition ! Un référendum citoyen européen s'impose »

« Le plus grand prédateur de l’être humain est l’homme lui-même, surtout quand il est organisé en institution administrative, possédant par ce fait tout un arsenal de répression. Les intentions fallacieuses sont attestées par tous ces procès engagés à l’encontre de médecins dont le seul objectif véritable est le recouvrement de la santé de leurs patients. Même l’apport de preuves des bons résultats médicaux et des témoignages spontanés de patients guéris ne suffisent pas, tant le seul objectif de ces institutions est de plier à leurs volontés et intérêts, ces médecins qui n’ont pas perdu la raison. Augmentons la résistance face à ces machines inhumaines. »

Vous vous êtes reconnu dans un de ces commentaires : Signez cette pétition ici

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Le Serment de l’ordre Français des Médecins « Au moment d'être admis à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité. J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me le demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. Admis dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs. Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les

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entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés. J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité. Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré et méprisé si j'y manque. »

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extrait du serment d’Hypocrate « Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants : Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon avoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre. Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté. Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille1. Dans quelque maison que je rentre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves. Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a jamais besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.

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Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire et mourir dans la tristesse. »

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