Politique Economique

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Présentation de cours :

Introduction : Le fonctionnement du marché ne permettant pas toujours d’aboutir à une situation d’équilibre satisfaisante, l’intervention de l’Etat devient alors nécessaire pour réguler l’économie d’où la nécessité d’élaborer une politique économique. (PE)

La politique économique désigne un ensemble des moyens mis en œuvre par l’Etat (La banque centrale et collectivités territoriales inclus) Pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixé dans le but d’améliorer la situation économique générale du pays. généralement, Les économistes font la distinction entre : les politiques économiques conjoncturelles qui visent à orienter l’activité économique à court terme. Et Les politiques économiques structurelles qui interviennent pour réguler (corriger) le fonctionnement de l’économie sur le moyen et le long terme.

Si La politique économique est conçue comme l’ensemble des interventions de l’administrations publiques sur l’activité économique, l’étude des conséquences économiques de ces interventions est généralement dénommée L’économie politique.

¤ L’intervention de l’Etat dans l’économie à plusieurs raisons : •

Maintenir la cohésion sociale.



Réaliser l’équilibre de marché



Garantir la libre exercice de la concurrence

¤ La politique économique est un enjeu de la souveraineté. ¤ Les secteurs les plus touchés par les enjeux de la souveraineté, on retiendra particulièrement La défense, L’énergie (sécurité d’approvisionnement), l’ingénierie informatique, etc. ¤ En théorie économique contemporaine, toute politique économique doit, faire face aux difficultés soulevées par :

 



Les théories de l’économie du bien-être : soulève le problème de l’allocation des ressources par le marché.

Le théorème de Coase : soulève le problème de la souplesse des contrats au regard des mesures de la politique. Allocation efficace (Coût des transactions est nuls et les Droits de propriété sont bien définit). La critique de Lucas : Soulève la question de l’importance des comportements opportunistes des agents face à toute forme de politique économique).

Les politiques économique contemporaines visent : 

 

Remédier à des échecs de marché : (Si le marché pour un bien n’existe pas, ce qui empêche des échanges mutuellement profitables, Ou bien si un défaut d’information conduit à des équilibres nonoptimaux) Ou limiter les perturbations introduites précédemment par l’Etat. Effectuer des redistributions : Face à un équilibre considéré comme trop inéquitable, Ou à encourager certaine catégorie sociales. À faire que l’action de l’Etat favorise les initiatives des autres agents : (stabilité juridique et fiscale par exemple).

Selon Musgrave (1910-2007) : 3 grandes fonctions incombent à l’Etat : 1)

L’allocation : Consiste à fournir des services non marchands (La justice, défense, infrastructures, éducation, santé, …) Les besoins collectifs.

2)

La redistribution : Consiste à fournir une protections contre toute inégalité sociales engendrée par le marché.

3)

La régulation et la stabilisation : à travers les politiques conjoncturelles et structurelles.

Généralement, les économistes énumèrent les 4 objectifs de l’économiste Nicolas Kaldor (1908-1986) : À cette égard on parle de Carrée magique : (Les objectifs de la PE conjoncturelles) 1)

La croissance économique : mesurée par le Taux de croissance de PIB. ( Réaliser une croissance satisfaite et durable)

2)

Le plein emploi : évaluer par le Taux de chômage. ( aider directement ou indirectement à crée des emplois)

3)

La stabilité des prix : mesurée par le Taux d’inflation.(lutter contre l’inflation pour protéger le pouvoir d’achat)

4)

L’équilibre des comptes extérieurs : Indiquer par le solde de la balance des paiements.(lutter contre le déficit commerciales).

Ce « Carrée magique » illustre les interactions entre les quatre indicateurs : Plus les cotés du carrée se rapprochent du centre, plus la situation économique dans le pays s’améliorer. Si Par exemple, Une politique économique de croissance commence par la baisse du Taux d’intérêt, On aura les processus suivant : Cas 1 (a):

Baisse de Taux d’intérêt Augmentation de la demande de crédit (prêts)

•De même L’augmentation de la demande de crédit entraine une création additionnelle de monnaie. •Alors, la masse monétaire augmentera rapidement sur le marché, et déclenche des tensions inflationnistes.

Les ménages augmente leurs consommations Cas 2(b) :

La baisse de Taux d’intérêt Augmentations des investissements Stimulation de la production, l’emploi, et la croissance économique

• La demande globale augmente (La somme de toutes les demandes de biens et services sur tous les marchés d’un pays à un moment donnée)

a) Définition : de la croissance : Pour F. Perroux, La croissance économique correspond à « L’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en termes réels ». Ou « l’accroissement durable de la production globale d’une économie ».

b)Définition : de développement : Pour François Perroux, « Le développement est la combinaison des changements mentaux et sociaux d’une production qui la rend apte à faire croitre, cumulativement et durablement, son produit réel global. »

La croissance décrit un processus d’accroissement de la seule production économique. (Sens strict)

Développement

croissance

Distinction entre les deux : Développement correspond à l’accroissement de l’ensemble des mutations économiques et sociale d’un pays. (Sens large)

Calcule de la croissance : La croissance est mesurée par le Taux de croissance de PIB.

Croissance nominale = croissance en valeur = croissance à prix courants = croissance en Dhs courants Croissance réelle

= croissance en volume = croissance à prix constants = croissance en Dhs constants

 

Traditionnellement, la théorie économique, Macroéconomie en tête, s’est concentrée sur les instruments de la politique monétaire et la politique budgétaire. La politique monétaire : Consiste à la fixation des taux directeurs. La politique budgétaire : Consiste à la répartition des prélèvements obligatoires (Droits de douane, taxes) et leurs affectations : subvention, etc.

Politique économique

Une politique conjoncturelles

Une politique structurelles

L’Etat intervient pour tenter de contrebalancer un ralentissement temporaire de l’activité économique.

L’Etat tente de modifier en profondeur les structures économiques et sociales.

Phase 1: l’Etat (Le gouvernement)

• Doit établir un diagnostic de la conjoncture économique actuelle. • Il doit prendre en compte certains indices importants : Le taux de croissance de PIB, le taux de chômage, le taux d’inflation …

• Définir les priorités que ça politique va adopter. • Toute politique économique doit réaliser certaines objectifs principaux ( La lutte contre le chômage, Relancer l’économie, augmenter la Phase 2 : Définir les croissance, lutter contre l’inflation) objectifs

Phase 3 : Prendre les décisions sur les outils

• Décider les outils qui vont lui permettre de mettre en œuvre son action pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixés.

Présentation de cours :

C’est une politique de court terme. Plus curative que préventive puisqu’elle droit combattre des difficultés considérées comme temporaire et permettre d’obtenir des résultats rapides. Elle consiste à agir sur les indicateur économique pour orienter l’activité économique vers des grandes équilibres macroéconomiques.



Les instruments qu’elle utilise sont nombreux (politique d’emploi, fiscale,…), on distingue généralement :

Les politiques budgétaires : Agir sur les recettes et dépenses de l’Etat.

( l’Etat augment leur dépense pour relance l’activité économique, etc.) 

Les politiques monétaires : ( l’Etat limite les crédit, Et modifier les taux d’intérêt)

La politique monétaire est un instrument de la politique économique, au même titre de la politique fiscale, sociale, … Elle (contrôle de la masse monétaire) et consiste donc tout en veillant à (donc à la stabilité des prix). La politique monétaire doit être compatible avec les objectifs de la politique économique qualifiés de « triangle keynésien » :

d’après la théorie économique moderne, le but de la banque centrale (BCE) est de maximiser le bien-être économique des ménages. 



Généralement on attribue deux objectifs principaux à la politique monétaire : La stabilisation des prix : à travers le contrôle des variations de la masse monétaire ne doit être ni trop abondante, ni trop faible et contrôle des mouvements de capitaux à court terme entre le pays et l’étranger (capitaux flottants).

La stimulation de l’activité économique.

Cas (1) : (Baisse de taux d’intérêt) : Taux d’intérêt est faible

les crédits distribués aux ménages et au entreprise augmentent

Risque de gonflement de la masse monétaire (inflation) : Car le pouvoir d’achat des agents et supérieur à la quantité des biens disponibles.

Cas (2) : (Baisse de taux d’intérêt ) :

Taux d’intérêt faible

Risque de fuite de capitaux flottants vers l’étranger car la rémunération y est plus importante.

La hausse des prix

Cas (3) : (Augmentation de Taux d’intérêt) :

Taux d’intérêt est élevé

Les crédits distribués baissent

Diminution de la masse monétaire (récession) : Car le pouvoir d’achat des agents est inférieur à la quantité de biens disponibles.

La baisse des prix

Cas (4) : (Augmentation de Taux d’intérêt) :

Taux d’intérêt élevé

Les capitaux flottants affluent au Pays : Car la rémunération ici est importante.

Si on admet qu’il n’existe pas d’arbitrage à long terme entre la stabilité des prix et l’activité économique, Car la monnaie à long terme est neutre. (sans effet). L’unique objectifs de la banque centrale à long terme est de maintenir la stabilité des prix. Dans ce cas le niveau de croissance potentiel dépendant de facteurs multiples (productivité, stock de capital, …) sur lesquels la politique monétaire n’a aucun impact.

On distingue entre quatre : Les quartes niveaux de la mise en place d’une politiques monétaires

Les objectifs finaux

Sont les buts ultimes poursuivis par la politique monétaire (stabilité des prix par exemple). La politique monétaire ne peut viser directement ces objectifs car les banques centrales n’ont qu’un contrôle très indirect de ces grandeurs économiques, qui réagissent avec des décalages assez longs et variables aux impulsions de la politique monétaire et sont observées retardé et une périodicité assez espacée

Les objectifs intermédiaires

Il s’agit des objectifs sur lesquels les instruments monétaires agissent plus directement (La croissance de la masse monétaire, le niveau de taux de change, …) pour atteindre les objectif finaux.

Les indicateurs avancés

Sont des variables économiques qui fournissent à la banque centrale de l’information sur l’état de l’économie (Les pressions ou les anticipations inflationnistes ou bien l’orientation effective de la politique monétaire, le degré de son caractère expansif ou restrictif)

Les instruments Ou « objectifs opérationnels »

Ce sont des variables qui sont directement sous le contrôle de la banque centrale. Le chois des instruments et les règles définies pour les manipuler, détermination de la politique monétaire au jour le jour.

Les deux principaux moyens d’action pour la banque centrale

L’action sur la liquidité bancaire : La banque centrale agit sur les banques de second rang en les alimentant plus ou moins en monnaie et en modifiant le taux des réserves obligatoires.   



L’action sur les taux : Où La banque centrale joue sur les trois taux directeurs qu’elle contrôle (taux de facilité de prêt marginal, taux de facilité de dépôt, opérations d’open market). Les variations de ces taux modifient le comportement des banques de second rang

Les taux directeurs : Sont les taux d’intérêt au jour le jour fixés par la banque centrale

d’un pays ou d’une union monétaire, et qui permettent à celle-ci de réguler l’activité économique.

Les taux du prêt marginal : est un taux d’intérêt utilisé sur le marché monétaire, pour les prêts à court terme.( l’équivalent de taux d’escompte dans la banque centrale européenne). Les taux de rémunération des dépôts : ou le taux de la facilité de dépôt : est le taux directeur fixé par la BCE auquel sont rémunérés les dépôts que placent les banques et autre établissements financiers auprès de la BCE.

(Open market Operations): Consistent en l’achat et la vente « fermes » de titres, en particulier de titres publics (Bons du trésor) par la banque centrale ( et à son initiative) sur le marché interbancaire.(principale taux directeurs des BCE est le taux de refinancement).

La plupart des banques centrales choisissent le taux d’intérêt a court terme comme instrument. C’est le seul taux qui peut effectivement contrôler de manière précise. Les actifs de très court terme sont très proches de la monnaie (liquidité), et la banque centrale a un monopole pour l’émission de monnaie. En revanche, au fur et à mesure que la maturité augment, les taux incorporent les anticipations du marché et échappent ainsi au contrôle de la BCE.

1_ l’encadrement du crédit : Impose aux banques des quotas de crédit à ne pas dépasser. Il s’agit de limiter le pouvoir de création monétaire par les banques. Tout banque ne respect pas ce seuil sera sanctionnée. 2_Le mécanisme des Réserves obligatoires (R.O) : Les R.O : Ce sont des dépôts non rémunérés que chaque banque doit effecteur sur son compte à la banque centrale. Le taux de R.O. peut augmenter et limiter la création monétaire. Peut aussi diminue et entrainer l’augmentation de la création monétaire. 3_ Le taux de réescompte : Est une opération de refinancement des banques commerciales. La BC peut augmenter ou diminue ce taux. 4_La politique d’Open Market : l’Open Market est l’intervention de la BC dans le marché interbancaire. Ce taux d’intervention est le taux directeur que lui aussi influence le taux proposer aux clients.

1 La fixité des taux de change : La politique monétaire peut avoir pour objectif de maintenir le taux de change de la monnaie nationale avec une autre monnaie étrangers . La fixité des taux de change est obtenus par La BC en vendant et en achetant des devises au jour le jour pour atteindre le taux objectif.

2 Le ciblage de la croissance des agrégats monétaires : l’adoption d’une politique monétaire basée sur un ciblage de la croissance des agrégats monétaires. La masse, dans une optique monétaristes ( Milton Friedman), doit croitre au même rythme que le produit national. Si la masse monétaire est sous contrôle alors, l’inflation est stable.

3 Le ciblage de l’inflation : C’est une politique visant à maintenir l’inflation proche d’un objectif. La BC peut définir :_ une cible numérique : (par exemple 2 %) _ une zone d’indifférence : (Par exemple entre 1 % et 3 %) _ une marge de fluctuation : (2% à +/- 1 %) Les avantages de ciblage d’inflation : 1)

Il permet de fixer les anticipations des agents à un niveau relativement bas, ce qui contribue à assurer la stabilité des prix à moyen-long terme et à limiter la variabilité de l’inflation.

2)

Il accroit la transparence de la banque centrale.

3)

Il s’agit d’un ciblage flexible, par opposition à un ciblage strict.

Les consommateurs et les entreprises demandent des prêts à leur banques, les banques aussi demandent de la monnaie à la BC. La BC contrôle l’offre de monnaie par le biais de taux directeurs(au jour le jour): en augment ce taux pour limiter l’offre de prêt par les banquiers. le problème c’est comment injecter de l’argent dans l’économie pour tenter de la relance, de contrebalancer la diminution de la masse monétaire en circulation induite par la raréfaction de crédit et dégonflement de mauvaise dette, lorsque le système bancaire ne remplit plus sa fonction, lorsque la courroie de transmission ne répond pas aux baisses massives et répétées des taux directeurs.

La politique budgétaire Consiste à utiliser certains instruments budgétaires (Dépenses publiques, endettement public, prélèvements fiscaux) pour influer sur la conjoncture économique. * en anglais, le terme « fiscal Policy » regroupe à la fois la politique budgétaire et la politique fiscale. * en français, le terme Fiscale désigne les modifications de l’imposition et des dépenses publiques dont le but est d’atteindre des objectifs sociaux ou de modifier les comportements individuels (encouragement de l’emploi par un impôt négatif, etc.)





Jusqu’au la crise des années 1930 (Crash(‫ )تحطم‬boursier), L’intervention de l’Etat ce focalisa sur le financement des services publics. Alors, les dépenses de l’Etat ne sont pas considéré comme un instrument pour influencer l’activité de l’économie : L’analyse keynésienne : Dans les années 1930, l’économiste J.M Keynes allait modifier cette conception : Keynes à montré que a partir l’utilisation d’une déficit budgétaire pouvait influencer la demande des agents économiques (consommation des ménages, investissement des entreprises)et, ce faisant, empêcher la spirale de la dépression. Ceci est Valable Si la faiblesse de la demande globale est due à une épargne excessive. Or, La pertinence de cette dernière hypothèse est remise en cause : dans ce monde, l’influence du désir de consommer pousse, plus à l’endettement (pour consommer) qu’à l’épargne. L’analyse Néoclassique : Depuis l’avènement de la crise consécutive au choc pétrolier de 1973, les économistes de ce courant ont souligné les limites de la politique budgétaire, les effets néfastes des déficits et de la dette publique.

Pour Ces théoriciens, Lorsque l’Etat à recours à l’emprunt pour financer les dépenses , il pousse à la hausse des taux d’intérêts ce qui tend à déprimer (‫)خفض‬l’investissement d’un montant équivalent à la relance. Robert Barro (1974) pense que une fois les agents savent qu’à terme d’imposition augmentera pour rembourser l’emprunt, et qu’en prévision de ces impôts futurs ils réduisent leur consommation. Alors, l’efficacité de la relance est contrariée par les anticipations des agents. Les néoclassiques recommandent alors la nécessité de promouvoir d’équilibre budgétaire sur l’ensemble du cycle afin de ne pas peser sur l’épargne nationale, Faire attention, en amont, à l’origine des fonds (neutralité fiscale) et en aval à l’utilité sociale des investissements publics.

Trois objectifs à la politique budgétaire : 1)

2) 3)

La stabilisation de l’activité (lissage des cycles) : le cycle peut difficilement être considéré comme un phénomène d’équilibre traduisant l’ajustement optimal d’une économie. Une distribution équitable des ressources entre générations et à l'intérieur d'une génération donnée. La promotion d’un processus (ou chemin) de croissance optimal fondé sur l’accumulation du capital.

Il n’y a pas de conflits d’objectifs et donc d’arbitrage entre ces trois éléments.

1)

Composantes budgétaire : * Des dépenses publiques : C’est-à-dire les dépenses sociale, subventions aux entreprises, investissement en infrastructure publiques, aides à la recherche, exonérations fiscales, hausse des salaires des fonctionnaires, hausse de l’emploi public, emplois aidés, etc. * Les recettes : niveau des taux d’imposition (ratio entre l’ensemble des taxes, impôts et cotisations sociales prélevés par les administrations publique et le PIB). Et des bases fiscales des différents impôts, emprunts, recettes exceptionnelles (gisements miniers, portefeuille d’actifs publics, … ) etc.

2)

Effets des politiques volontaristes de « demande » et « d’offre » : * Politique de demande : ( Une politique soutenir l’activité économique à court terme faisant jouer le « multiplicateur keynésien » : mécanisme macroéconomique mis en évidence par Keynes, qui permet de compenser la faiblesse des dépenses privées par un accroissement des dépenses publiques.) Lorsque l’Etat verse davantage d’argent aux ménages (aides sociales), ou leur en prélève moins (baisse des impôts), les ménages vont augmenter leur consommation ( et donc la demande adressée aux entreprises) : c’est la politique de demande. * Dans la réalité, Une hausse de revenus a plus d’effets, si les ménages concernés sont modestes. En effets, ces ménages auront tendance à faiblement épargner tout nouveau revenu (on parle de forte propension à consommer). Alors tout distribution de pouvoir d’achat, pour accélérer la croissance, passent par l’accroissement de revenu, peut a des effets limités, voire même des effets inverses de la politique budgétaire.



Politique d’offre :

L’Etat diminue ses prélèvements sur les entreprises (baisse d’impôts , versements d’aides et de subventions).

La compétitivité nationale s’améliorera

Une augmentation des profits des entreprises

Les entreprises pourront produire à moindre couts

Lui permet d’investir plus

Baisseront leur prix, alors augmentant le pouvoir d’achat

Demandera d’augmenter leur production (offre)

Accroissement de PIB

3) Effets de la politique budgétaire : Sont difficiles à anticiper, à cause que chaque décision prise peut avoir des effets positive, et des effets négatives, dans le temps et en fonction des comportements aléatoire des agents et des marchés « même ceux externe ». Ainsi, en raison de la difficulté d’anticiper la conjoncture économique, de la lenteur d’action de la politique budgétaire, Les économistes ont mise en place et laisser jouer des stabilisateurs économiques. (Ce sont des mécanismes économiques ayant une activité régulatrice, passive, et anticyclique). Les recettes et les dépenses publiques exercent spontanément une action contra-cyclique sur l’activité économique, c’est-à-dire atténuation (‫ )تخفيف‬des aléas (‫ )المخاطر‬de la conjoncture économique. En effet, Si Une grande partie des dépenses publiques sont indépendantes des variations à court terme de l’activité économique (ex: les dépenses de rémunération et de retraite des fonctionnaires), Certains d’entre elle sont, en revanche, mécaniquement liées à la conjoncture. C’est notamment le cas d’indemnisation du chômage ou des prestations sociales versées sous condition de ressources, qui augmentent quand l’activité économique se dégrade.

On considère ainsi que l’élasticité des dépenses publiques à la conjoncture est comprise entre 0,1 et 0,3, autrement dit, les dépenses publiques ont tendance à augmenter spontanément de 0,1 à 0,3 point lorsque la croissance ralentit d’un point. Lorsque l’activité économique ralentit(‫)يتباطأ‬, les dépenses publiques ont tendance à s’accélérer tandis que les entrées de recettes ralentissent mécaniquement, ce qui provoque une détérioration du solde budgétaire. Dès lors, le montant des recettes fiscales diminue et le volume de dépenses publiques augmente. La détérioration de l’activité économique provoque alors un transfert de revenus des administrations publiques vers les ménages et les entreprises, ce qui atténue mécaniquement l’effet du ralentissement économiques sur les revenus de ces derniers. à l’inverse, en période de forte expansion économique, les prélèvements fiscaux et sociaux augmentent mécaniquement, tandis que les dépenses diminue, ce qui a tendance à freiner la croissance de la demande (intérieure). Par conséquent, les recettes et les dépenses publiques fonctionnent comme des « stabilisateurs automatiques » puisqu’elles contribuent à amortir des variations conjoncturelles de l’activité économique. Deux conditions pour que ce mécanisme de stabilisation automatique soit fonctionne pleinement : 1) les ménages et les entreprises ne modifient pas leur comportement de consommation. 2) les taux intérêts ne sont pas affectés par la croissance de la dépense publique en période de récession.

Une politique budgétaire volontariste peut avoir des effets défavorables sur l’activité économique, ces effets défavorable sont devenus plus en plus critiqué : 1)

Les besoins de financement liés à l’accroissement des dépenses publiques Une hausse générale des emprunts de l’Etat, alors une demande supplémentaire adressée aux marchés de capitaux. Donc une augmentation des taux d’intérêts

Hausse des taux découpage une partie des achats des consommateurs financés par l’emprunt Cela réduit les investissements des E/ses lorsque leur rentabilité est insuffisante au regard de coût de financement de l’emprunt

Augmentation du chômage

2) La demande supplémentaire a cause d’augmentation des dépenses publiques

Ce qui est mauvais si cette demande supplémentaire adresser aux producteurs étrangers (biens importés)

La relance alors est exporté à l’étrangers

3) Le revenu octroyé rend le travail financièrement inintéressant ( Ex : aide au chômage), si ces revenus sont supérieurs à celle des activités normaux. Les ménages vont réduisez leur offre de travail, la main d’œuvre se raréfier, alors les coûts de productions augmentant, et par conséquence les prix aggravé aussi. 4) Pour financer une politique de demande

Le gouvernement accroitre leur pression fiscale

Ce qui décourage l’activité économique

5) Par ailleurs, l’accumulation des déficits budgétaires vient de gonfler l’encours de la dette publique ce qui augment les charges futurs de l’Etat. Or, Plus l’Etat est endetté, plus la charge de cette dette s’aggravé. À terme, le poids de la dette peut devenir insoutenable par rapport au niveau des recettes de l’Etat. 6) En outre, les délais liés à la prise de décision politique font que les effets de la politique budgétaire peuvent être inadaptés à la conjoncture au moment où il affectent les décisions des agents économiques. 7) Certains dépenses publiques sont particulièrement rigides, et donc, difficilement réversibles en cas de retournement de la conjoncture. 8) Autre limite de la politique d’offre : •

• •

Si les entreprises n’investissent pas leurs éventuels bénéfices supplémentaires, et se contentent de les distribuer à leurs propriétaires ; Peut être les propriétaires de ces entreprises ce sont des étrangers alors, cela engendre l’export de la richesse crée par ces derniers ; Pour que les entreprises investissent, il faut que les conditions réglementaires soient favorables à l’activité.

Les interactions entre les deux politiques sont fortes et souvent contradictoires : A) la politique budgétaire est avant tout, est une politique de la dépense, Elle est effectuée dans un cadre institutionnel (le budget annuel ) qui privilégie le court terme (CT) ;

B) À L’inverse, la politique monétaire est une politique du moyen ou long terme ( mais pas une politique structurelles) ; C) L’indépendance des banques centrales vis-à-vis du pouvoir politique a permis de prendre davantage en compte les impactes sur moyen et long termes, et permettent de se rapprocher du niveau de croissance requis. Toutefois, n’aille pas souvent en harmonie avec les intérêts et préoccupation des hommes politiques aux logiques et aux horizons temporels si différents. La politique monétaire se distingue de la politique budgétaire. Ces deux politique interagissent et forment ensemble le Policy-mix.

identification Sous section 1 : les politiques structurelles : identification et histoire Sous section 2 : Objectifs et instruments de politique structurelle.

Sous section 3 : Acteur et mode d’action de la politique structurelle. A) Définition de la planification B) La politique structurelle à travers la planification : Aperçu du cas du Maroc Sous section 1 : les politiques d’aménagement du territoire A) l’aménagement du territoire : tentative de définition B) l’aménagement du territoire : objectifs et dimension structurelle Sous section 2 : Les politiques industrielles A) la politique industrielle : contexte de développement B) Définition de la politique industrielle C) Objectifs et instrument de la politique industrielle D) Les grandes axes de la politique industrielle E) les enjeux de la politique industrielle Sous section 3 : Les Politiques sociales A) qu’est ce que la politique sociale ? B) objet et objectifs de la politique sociale C) « Justice sociale » et instruments de la politique sociale

Les politiques structurelles sont à l’opposé des politiques conjoncturelles qui vise le réajustement économique dans le court terme, la politique structurelle s’attache à planifier le développement économique sur le moyen et le long terme.

identification Sous section 1 : les politiques structurelles : identification et histoire : Identification :

La politique structurelle est une politique économique de moyen et long terme qui vise à transformer les structures de l’économie. Sa finalité est souvent d’accroître la croissance potentielle d’une économie nationale. Elle faire face aux plusieurs dysfonctionnement de l’économie : * insuffisance de l’innovation * relations professionnelles mal adaptées * spécialisation non dynamique * système de financement peu performant * faible compétitivité …

Historiquement : / La période d’après guerre en Europe : mis en place d’une multiples mesure structurelles pour reconstruire l’économie et pour infléchir les mécanismes du marché aussi ( mis en œuvre de planification, nationalisation des grandes entreprises, l’aménagement de territoire, les politiques sociales, … etc.) // Avec la crise 1970 : cette période à connaître les premiers mouvements de privatisation, à cause de la mondialisation, et l’incertitude des mutations technologiques et idéologiques, ce qui entrainent le déclin des politiques structurelles nationales et réactiver les réflexion autour de joue du marché à travers la déréglementation. ( maintenir un niveau de concurrence ) /// Les années 1990 : avec la crise des modèles théoriques de développement des années 1980 et l’épuisement de ceux empiriques ( ex: programme d’ajustement structurelle PAS), voient le retour de l’Etat dans les affaires économiques.

Sous section 2 : Objectifs et instruments de politique structurelle Historiquement les politiques économiques structurelles sont liées aux préoccupations ‘’ d’indépendance ‘’ nationale, aux exigence de croissance et de développement, qui nécessite la mis en place d’incitation relatifs à l’environnement des entreprises ( offre des subventions, des aides divers, des taux d’intérêts bonifiés ) et aussi de pallier les défaillances du marché : environnement, justice sociale.

Les domaines traditionnels des politiques structurelles : _ La politique industrielle : notamment sectorielle (aéronautique); _ La politique territoriale : (aménagement de territoire : infrastructure publiques). _ La politique technologique : (promotion de la recherche-développement et de l’innovation). _ Les politique qui vise à renforcer et sauvegarder la concurrence : préserver la compétitivité des entreprises nationales.

Ces politiques peuvent être aussi : / Défensives (soutien à un secteur en difficulté) ou offensives (aide à la recherche/développement).

// Horizontales (environnement de toutes les entreprises : sorte d’action transversale) ou Verticales (centrées sur un secteur d’activité). Les instruments des politiques économiques structurelles peuvent être : / Autoritaires : nationalisations (le transfert de propriété du capital d’une E/se privée vers L’Etat), privatisations (Opération de transfert du capital d’une E/se publique à des actionnaires privés). // informationnels : expertise, prospective.

Sous section 3 : Acteur et mode d’action de la politique structurelle Pour initier, organiser, et mettre en œuvre une politique structurelle, il faut un agent économique fort. C’est donc l’Etat qui doit assurer cette politique former par un plan de développement.

A) Définition de la planification : HCP définir la planification comme suite : « un processus qui consiste à définir, sur la base d’un diagnostic et d’une vision d’avenir , des objectifs de développement, généralement, dans le cadre d’une stratégie de développement liée à un programme déterminé ».

B) La politique structurelle à travers la planification : Aperçu du cas du Maroc Deux modes de planification sont historiquement connus :

/ La planification « impérative » : (Ex : Planification soviétique) : Il y a une obligation pour les agents économiques de suivre les objectifs données par le plan du gouvernement. // La planification « indicative » : caractéristiques des économies de marché et par la suite des économies mixtes. Le Maroc a arrêté, depuis son indépendance, des objectifs visant une croissance économique suffisante et soutenue en vue d’améliorer le niveau de vie de la population. La plupart des plans de développement qu’à connus le Maroc depuis 1960, sont des plans qui se base sur l’amélioration de secteur agricole, tourisme, et les ressources humaines.

à cause des contraintes imposée par la concurrence internationale, dans les années 1970, on assiste à une inflexion libérale des politiques structurelles. Par suite, la fin des ces années fut marqué le désengagement de l’Etat, les privatisations, les déréglementations (suppression de contraintes règlementaires). Vers la fin de ce 20éme siècle, le débat de l’abstention et/ou l’intervention de l’Etat, dans le cadre d’une économie mixte, n’a plus d’importance du passé : le rôle régulateur de l’Etat est requis. Il se traduit par l’importance des services publics fournis, la présence d’une administration puissante apte à mettre en œuvre les choix « collectifs », entre autres les politiques structurelles diverses.

Sous section 1 : les politiques d’aménagement du territoire : A) l’aménagement du territoire : tentative de définition : l’aménagement du territoire, C’est la recherche dans le cadre géographique, d’une meilleure répartition des hommes en fonction des ressources naturelles et de l’activité économique’’. De ce définition, on déduit que l’aménagement du territoire est : _ Comme un exigence de justice spatiale : C’est-à-dire permet la correction des disparités entre les différents espaces du territoire.

_ Comme un exigence économique : Bien appréhender les réalités (atouts et faiblesses) des différents espaces du territoire.

_ Comme un exigence spécialisation fonctionnelle : (chaque espace, local ou régional se spécialise dans des secteurs d’activités porteurs) Pour une bonne complémentarité, entre les différents espaces (locaux ou régionaux).

B) l’aménagement du territoire : objectifs et dimension structurelle :

L’accompagnement de développement économique du territoire

La réduction des inégalités spatiales en termes économiques et sociales

Exemple : Réduction des inégalités devant la richesse et l’emploi

Exemple : Viabilisation de l’espace urbain et un effort en faveur des zones rurales

Ces deux objectifs sont réunis dans la formulation d’un « Développement équilibré du territoire ». Le vocable « territoire équilibré » revêt plusieurs signification : •

Pour les sociologues : Conçus comme ‘’ Assurer à tous les ménages des niveaux de vie pas trop différents’’.



Pour des géographes : ‘’ répartir la population et les activités aussi également que possible sur tout le territoire’’. J.F.Gravier

E) les enjeux de la politique industrielle : Le renouveau de la politique industrielle passe par un certain nombre de chantiers parmi lesquels figurent différents initiatives : / l’accent est d'abord mis sur l’innovation dans les secteurs de haut technologie, et non sur l’ensemble des activités industrielles ; // la mis en place de partenariat constitue une dimension essentielle des nouveaux projets industriels. L’aide des pouvoirs publics s’avère indispensable, elle prend la forme classique de partenariats entre industriels et chercheurs. Mais, il s’agit également des partenariats entre PME et grandes entreprises et entre domaines d’activités différents. En effets, l’innovation ne résulte plus seulement d’une hyper spécialisation dans un domaine mais, plutôt un rencontre et d’une hybridation (croisement) entre plusieurs domaines.

/// La dimension spatiale ( économie spatiale ou économie des territoires) est une autre dimension importante. Toutes les initiatives ont retenu les leçons des ‘’ Clusters : Grappes d’activités ou pôles de développement ‘’ qui rassemblent sur une même aire géographiques des entreprises complémentaires (Clients et Fournisseurs), des institutions publiques et privées ( recherche, enseignement) afin de créer des effets de réseaux et des externalités positives donnant à l’activité des avantages compétitifs dans la concurrence mondiale ( technopoles au Maroc : par exemple).

A) qu’est ce que la politique sociale ? 









La politique sociale est un instrument appliqué par les gouvernements pour réglementer et supplémenter ( charger d’un supplément à payer) des institutions de marché et des structures sociales. Elle est souvent définie comme des services sociaux : L’instruction, la santé, l’emploi, la sécurité sociale. La politique sociale tente de créer les conditions favorables à une cohésion sociale renforcée. Elle concerne donc tout ce qui a trait à ‘’ la redistribution, la protection et la justice sociale ‘’. (DESA : département des affaires économique et sociales Nations Unies) Invention nécessaire pour rendre gouvernable une société organisée autour de principes de solidarités; ensemble d’actions mises en œuvre progressivement par les pouvoirs publics pour parvenir à transformer les conditions de vie d’abord des ouvriers puis les salariés et éviter les explosions sociales, la désagrégation des liens sociaux. (Marie-Th. Join-Lambert) Une politique sociale efficace aide les individus à vivre pleinement et à s’épanouir et ce faisant permet aux économies de mieux s’adapter aux nouvelles possibilités de croissance. En revanche, une mauvaise politique sociale est synonyme d’engrenage dans la pauvreté ou l’exclusion sociale. (OCDE : Organisation de coopération et de développement économique) L’amélioration qualitative et quantitative de l’emploi et l’égalité des chances sont les mots d’ordre de la politique sociale et de l’emploi européenne … (UE)

 1.

Il existe Quatre grands volets de la politique sociale: Le social redistributif : C’est l’Etat providence ( La forme prise par l’intervention de l’Etat dans la vie économique et sociale) qui a pour mission d’assurer la solidarité ente les citoyens.

2.

Le social de Capacitation : ce sont les outils par lesquels les personnes ont les moyens de gérer leurs chances (égalité des chances, la santé, l’éducation …)

3.

Le social régulateur qui concerne la réglementation comme le droit du travail

4.

Le social protecteur qui vise préserver la dignité humaine. Ce sont par exemple les droits fondamentaux. ( Pierre Rosanvallon)

B) objet et objectifs de la politique sociale : Les politiques sociales sont nécessaires car la richesse créer par la croissance économique ne parviennent pas à tous automatiquement. Les politiques sociales, inadéquates en fin de compte, limitent la croissance à moyen et long terme. En fait, ces politiques ne trouve pas seulement leur justification d’un point de vue humanitaire, elle sont un besoin économique et politique : La croissance économique future et la stabilité de la politique exigent un ‘’appui’’ de l’ensemble des citoyens à la politique publique.



Pour tout politique sociale lancé il faut que l’Etat tente de converger vers une sorte de solidarité nationale. Cette derniers est un impératif et une base d’un développement socioéconomique harmonieux :

Mettre en place de la sécurité sociale à pour objectifs de permettre aux individus de faire face aux conséquences financières des risques sociaux (vieillesse, santé, chômage, etc.).



il s’agit également que l’Etat doit garantir la satisfaction des besoins fondamentaux des individus pour atteindre un niveau sanitaire et social correct ( La politique de logement, l’éducation, du services public gratuit).  Présent un soutien de la demande; C’est un élément souhaitable en période de récession, en effet, différents arguments sont avancés : / Investir dans le capital humain accroit la quantité et la productivité de la main d’œuvre, améliorant ainsi le climat d’investissement et donc de la croissance. // Le revalorisation des revenus des pauvres augmente la demande intérieure et cela encourage la croissance; Des taux de consommation plus grand parmi les groupes à faible revenus contribuent à développer le marché intérieur. /// Les sociétés fortement inégales sont associées à des croissances à taux inférieures.

C) « Justice sociale » et instruments de la politique sociale Toute politique sociale a pour but de la recherche de la justice sociale. Cette derniers est conçue de deux façons différentes : Justice sociale comme « égalité » et la justice sociale comme « équité ». * La justice sociale comme égalité : C’est-à-dire l’Etat se donne les moyens pour réduire les inégalités de toutes sortes ( entre les riches et pauvres; inégalité liée au sexe ..) _ parmi les instrumentes représentatifs du mode d’égalité est la redistribution verticale : limiter les inégalités des revenus. * La justice sociale comme équité : cette conception se traduit par l’élimination des injustices ( handicap, vieillesse, maladie, nationalité …) on donne certaines opportunités à certaines catégories de personnes en situation d’injustice. (discrimination positive).

La redistribution des cotisations sociales en prestations sociales permet de qualifiée l’équité sociale. Elle est dite Redistribution horizontale : couvre les risques sociaux quel que soit le niveau de revenus. En fait qu’un groupe paie pour les services d’un autre groupe.

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